Pierre Vidal, journaliste et ancien chroniqueur du Journal La République des Pyrénées présentera son récit Vamonos ! Sur le chemin du Rocío réalisé avec le photographe Bruno Lasnier et publié aux éditions l'Atelier des Brisants. La rencontre sera animée par Patrick Cauna


 

Toros, toros ! : Chroniques taurines

 

Zocato, c’est le surnom d’arène de Vincent Bourg, enfant des Landes devenu aficionado au contact de grands passionnés, puis torero lui‑même pendant quelques années de jeunesse, avant de laisser l’épée pour la plume. C’est Georges Dubos, grand revistero et patron de Sud Ouest dans les Landes, qui l’engagea. Il écrit depuis les années 1980 dans le journal Sud Ouest et dans d’autres revues spécialisées, et propose ici un recueil de ses plus beaux articles.

 

Toros, toros ! : Chroniques taurines, Auteur : Vincent Bourg « Zocato », Éditions Sud-Ouest :au prix de 17,90 €.


Minotaures : voyage au coeur de la corrida de Yannis Ezziadi

 

Vient de paraître chez Fayard. C’est le premier livre de Yannis Ezziadi, fruit de ses voyages taurins, de ses conversations avec des toreros, des ganaderos notamment Simon Casas, Sébastien Castella, Carlos Olsina, Marc Serrano, Richard Milian, Curro Caro, Robert Margé, Dominique Cuillé, Alain Montcouquiol et beaucoup d'autres encore. 

Avec la corrida, Yannis Ezziadi a découvert le dernier grand vestige de la tragédie. Il s'est plongé avec passion dans ce monde où la peur, le courage, la beauté, la joie et la mort s'épousent dans le creux des arènes. Voilà bientôt quatre ans qu’il voyage dans le sud de la France, d'arènes en élevages, au coeur de ce monde méconnu, singulier et fascinant. La corrida n'en finira jamais de réunir, de diviser, de scandaliser, mais en réalité - et surtout - de fasciner. 


Les Concha y Sierra ont fait partis de notre patrimoine taurin pendant plusieurs années. Un livre raconte leur histoire.

 

Les frères García Palacios ont vendu la ganaderia de Concha y Sierra à Jean-Luc Couturier en 2013. 180 magnifiques bêtes aux robes polychromes qui investirent le campo de la finca de Coste Haute. En 2021, après la Covid et des problèmes administratifs, le ganadero français se voit contraint de revendre cet élevage mythique. En janvier 2021, la tempête Filomena a quasiment détruit le troupeau du ganadero et ancien torero José Maria Lopez propriétaire du fer “El Uno” située à Almoguera près de Guadalajara. C’est lui qui rachètera les C y S, mettant fin à leur exil en les installant fin octobre chez lui dans la Finca El Maquilón

 

 

Un livre vient d’être consacré à cette ganaderia mythique, véritable trésor génétique du campo bravo, par un jeune aficionado madrilène Luis Cordón Albalá sous le titre “Blanca, Negra y Plomo. La leyenda de Concha y Sierra”.

"Je suis un aficionado madrilène qui va aux corridas depuis tout petit. Abonné aux arènes de Madrid depuis l'âge de 20 ans, je tiens également un blog "Toros en Puntas", dans lequel j'écris sur la planète taurine et sur les corridas auxquelles j'assiste, en particulier à Las Ventas. Abonné du Tendido 7 et membre de l’Asociación El Toro de Madrid"

C’est son 1er livre. Il est entièrement dédié à la ganaderia de Concha y Sierra, très complet et détaillé. Sa lecture nous conte son histoire tout en suivant celle de l’Espagne taurine et ganadera, depuis sa création en 1873 jusqu’à nos jours… Pourquoi avoir choisit d’écrire sur cette ganaderia ?

"Parce que, quand José María López a acheté le troupeau à Jean Luc Couturier et l'a installé chez lui, à moins de 7 kilomètres de mon village, Estremera. Et parce que Concha y Sierra n'est pas un élevage ordinaire, c'est un fer légendaire avec 150 ans d'histoire qui a joué un rôle de premier plan dans l'histoire de la tauromachie."

C’est le premier livre qui traite exclusivement de l'histoire des Concha y Sierra

 

"Je me suis basé sur l'Opus consacré à la Casta Vazqueña d’André Viard, Hierros y encastes de Filiberto Mira, ou Ganaderías míticas, de José Luis Prieto. Après je suis allé à la source, chez le ganadero"

José María López parle d’une corrida à Madrid cette année, résultat des excellentes sorties des Concha y Sierra, surtout lors de la Copa Chenel…

"Je suis comptant pour lui et j’espère qu’il pourra maintenir le cap que nous nous étions fixés, ces premiers résultats sont un peu le fruit de notre travail de réhabilitation avec des derniers tentaderos très très encourageant. Mais…"

Jean-Luc Couturier avait acquit cette mythique ganaderia sur un coup de cœur et en huit ans il a sut leur redonner un plus, en forces notamment, en travaillant sur la génétique, avant de devoir s’en séparer durant l’automne 2021…

"Ce fut un crève-cœur car nous avions fait un travail de fond remarquable sur les deux élevages. Ces années de travail donnaient des premiers résultats encourageants avec, l’an dernier, un très bon novillo à Céret et trois très bons toros à Istres. D’ailleurs, les derniers tentaderos confirmaient que nous avions passé un cap. Mais économiquement, on ne pouvait plus conserver 450 bêtes sur la finca"

C’est à Torres de la Alameda que les aficionados espagnols ont retrouvé cet élevage historique, le 5eme étant ovationné à l’arrastre et le 6eme “Sorprendedor” fut primé d’une vuelta posthume après avoir laissé ses deux oreilles à Calerito… Alors si aujourd’hui on évoque leur présence en 2024 sur des cartels à Madrid, Colmenar Viejo ou El Puerto de Santa Maria, ce seront bien des toros façonnés à Coste Haute qui seront à l’affiche…

  

Essentiellement taurin, ce livre se lit même avec un minimum de connaissance de la langue de Cervantes, à condition d’être aficionado à los toros. Disponible à la Libreria Rodriguez (http://www.libreriarodriguez.com) au prix de 16€


Toros N° 2214 est paru     

 

Avec au sommaire : L’éditorial : La dictature des vertueux par Miguel Darrieumerlou. Chronique du temps : Vérités et mensonges. Éphéméride : 19 avril 1879 : Naissance d’un miraculé, “Matapozuelos”. Toros en Espagne : Lorca, Madrid, Séville. Ganaderias : La ganaderia Palha, hier, aujourd’hui et demain. Toros en France : Arles, Mugron, Saint-Perdon, Aignan. Notes de lecture : Étude approfondie  de la corne du toro de combat. Effet des fundas  et détection d’une possible manipulation par thermographie. Notes de lecture : Minotaures Voyage au cœur de la corrida. In memoriam : Séverine Vargas & Jean-Luc Martinez

Clarines y carteles. Villes de toros : Calasparra Le dessin d’Alain Bonhoure : Dernière médaille des Beaux-Arts pour la Tauromachie aux frères Miura. Urtasun l'a supprimée...

 

Couverture : Photographie  Alfredo Arévalo  Madrid le 31 mars Domingo de Resurección. Le dimanche de Pâques est l’une des grandes dates de la temporada. La Maestranza ouvre ses portes,  Las Ventas prend son rythme, c’est la feria d’Arles, Aignan propose un choix plus torista...Compte-rendus en pages intérieures


Planète Corrida N° 164

du 7 aout 2023

 

Au sommaire: L’événement: l'alternative de Christian Parejo. Clémente et Roman en grand format. Un torero de légende : José Fuentes. Hemingway à Pamplona. Les Telles. Plus toutes les rubriques habituelles


ToroMag N°131 est en kiosque

 

  Le nouveau numéro de la revue ToroMag vient de paraître avec son Éditorial et au sommaire : Entretien : Uceda LealEl campo : Yonnet. Entretien : Morenito de Aranda. Reportage : Les journées de Pamplona Entretien : Tibo Garcia. Images d'antan : Victimes de la guerre civile. Hommage : Emilio Oliva Baro. Tribune : Quels sont nos ennemis ? Actualité courses : Arzacq / Magescq. La valse des apoderados. Télégrammes Carteles Humeurs badines


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Aqui hay toreros

 

 Le numéro 4 de la revue taurine "Aqui haytoreros" vient de paraitre avec ses 45 pages consacrées à la tauromachie.


Vient de paraître

 

Le douzième numéro de la revue de l'association Mexico Aztecas y Toros vient de sortir avec des textes de Jean François Nevière, Jacques Lanfranchi, Jean Michel Dussol, Evelyne Lanfranchi, Pierre Vidal, Jésus Hernandez, Josette Avril, Robert Regal, Michel Marcos, Monica Baston Gomez (traduction Michel Naudy), Robert Desclaux, Jean Luc Illhé et de la regrettée Inca Virgo Arte. Photos: galerie de portraits de toreros par Bertrand Caritey.

 

Après avoir passée l'épreuve du Covid, l'Association Mexico Aztecas y Toros a organisé un voyage aux Fallas de Valence, la revue est le second acte de cette "nouvelle vie". Cette revue a pour objectif de permettre à tous les aficionados qui le souhaitent d'écrire sur leur passion dans un moment où elle est particulièrement attaquée. Ces récits, poèmes ou réflexions témoignent tous d'un attachement profond à l'art taurin. Prix 15 euros. Contact jeffneviere@msn.com , corridasi351@gmail.com



La dernière parution de l’UBTF

 

Un travail historique et bibliophilique, la première traduction en français de la Lettre de Moratín de 1777. Cette  «Carta historica del origen y progresos des fiestas de toros en España» connut un grand retentissement et une influence indéniable sur les oeuvres postérieures. Une référence universelle, même et surtout si peu d’aficonados l’avaient lue, elle comporte des thèses (origine mauresque du torero à pied) voire des erreurs remises en cause par les historiens éminents de ce dernier demi-siècle.

Cette lettre malgré tout l’intérêt qu’on lui a porté, n’a jamais été traduite en français. C’est tout à l’honneur de l’UBTF (Union des Bibliophiles Taurins de France) d’en avoir envisagé la publication. Elle demeure un témoignage du 18ème siècle, celui de la naissance de la corrida telle qu’elle est parvenue jusqu’à nous. 

À commander sur le site ubtf.fr ou dans les librairies dépositaires.


 

 

 

Pierre Vidal (journaliste et écrivain) et Bruno Lasnier (photographe) vont publier un livre

"Vamonos ! sur le chemin du Rocío". Souscription, don ou autre…

 

Pour plus de renseignements. Merci de contacter l'association par mail : luminance33@gmail.com


Les 40 ans du CFT.

 

Tandis que le Centre français de tauromachie prend une nouvelle orientation, Christophe Chay en a écrit sa grande histoire au travers d’une quarantaine de témoignages d’anciens élèves à l’occasion du 40eme anniversaire de sa création. En ouverture, Christian Le Sur évoque son passé, de torero à son histoire avec le CFT… avant de laisser la parole à ses anciens élèves qui sont devenus des toreros ou des professionnels taurins, ou se sont épanouis dans d'autres univers professionnels, de chef d’entreprise à général d’armée 4 étoiles, de poissonnier à vedette de la voltige équestre…. grâce aux valeurs acquises durant leur scolarité taurine. Une mémoire pour eux, qui ont fait l’histoire du CFT et pour tous les aficionados

 

Le CFT fête des 40 ans, 450 pages, 30 €, disponible à Nîmes à la libraire l’Itinéraire (3, rue des Arènes) et à la galerie taurine de Yan Pérez (22, rue Fresque). En commande contre un chèque de 40 € (dont 10 € de frais d’envoi) à adresser au CFT, 57, rue Roussy, 30 000 Nîmes.


 

La Clémence de Titus

 

Recueil du Collectif Hemingway 2023 paru aux éditions du Diable Vauvert. Sébastien Ambit, dix-neuvième lauréat, nous offre une nouvelle surprenante et sensible où les héros sont sur les gradins et la corrida prend des airs d’opéra.
À l’image du texte lauréat, les meilleures nouvelles de l’édition 2023 composent un excellent recueil bien dans l’air du temps, féministe, passionné, prolétarien et poétique, qui nous emmène des lointains villages d’Espagne à Mauthausen, d’une mercerie à l’atelier d’un photographe, et jusqu’au parvis des arènes de Nîmes…

 


Luis Miguel Dominguin à cœur ouvert...

 

Paru dans sa version corrigée en 2015, l’ouvrage de Carlos Abella sur le torero Luis Miguel Dominguin vient de paraître dans sa traduction française aux éditions Nombre 7 (Nîmes). Désormais disponible en version française, il a été traduit par Pascal Lamothe et préfacé par l’aficionado et auteur Daniel Saint-Lary.

« Pendant un an, j’ai partagé la vie de Luis Miguel Dominguin, sa mémoire, ses maisons, ses secrets, ses loisirs, son ultime scepticisme. Pendant ce temps, j’ai cru trouver dans ses silences beaucoup d’incrédulité, une certaine mélancolie et beaucoup d’ironie intelligente. Et toujours la personnalité de ce grand être humain qu’était Luis Miguel Dominguin. Sa biographie est aussi la biographie de toute une période de la vie espagnole.
Luis Miguel Dominguin m’a révélé comment il a su fasciner les hommes et les femmes, les hommes politiques de droite et de gauche, et que, contrairement à l’image qu’il cultivait lui-même, son côté était toujours dans le cœur et dans l’intelligence
. » Carlos Abella…

 

Sont évoqués par les textes et les photos d’archives, la vie intime du torero, décédé en 1996, ainsi que les grands événements de sa carrière, ses romances avec plusieurs actrices célèbres des années 50-60 et ses rencontres avec les personnages célèbres de cette époque. Vous pouvez acheter ce livre au prix de 30 € auprès de Pascal Lamothe (7 rue de Cauderon, 32190 Vic-Fezensac) ou au 06-79-10-61-99 ou par courriel :  pascal.lamothe@orange.fr


 

Chicuelo, un torero pour l'Histoire.

 

La dernière parution de l'Union des bibliophiles taurins de France (UBTF), une biographie ecrite par Joel Bartolloti.

Si Chicuelo est passé à la postérité taurine en raison de la passe qui porte son nom, son apport à la tauromachie est beaucoup plus important car il fut le vrai fondateur du toreo moderne. 

Grâce à cette biographie richement documentée, Joël Bartolotti réhabilite pour l'Histoire cet immense torero. ( 220 pages. 25 €. À commander sur le site ubtf.fr)


La Cour des grands

 

Ecrit par Maxime Ducasse et paru aux éditions Au Diable Vauvert

À la fin de chacune de ses saisons taurines, Maxime Ducasse a livré sur le papier ce qui ne se raconte pas, une vision intime, un journal de route personnel, aujourd’hui dévoilé.

« Les clopes, les stations-service, le café, la route, la nuit, le toro qui a fait ci, qui a fait ça, le fumet de la corrida passée qui a du mal à s’évaporer » : voilà, un texte, des textes, qui balancent un peu de flashs lumineux sur ce monde obscur, clos sur lui-même, sur ce quotidien si peu doué pour le quotidien, si peu fait pour les affaires courantes, les nôtres…
Ce témoignage subjectif, volontairement « perso », plus allusif que documentaire, c’est celui de Maxime Ducasse, torero. Cette immersion dans cet univers, sauf erreur de ma part, on n’en connaît pas d’autres exemples. Jacques Durand, préface
 

Né en 1964, Maxime Ducasse est un banderillero retiré nîmois. Il a exercé pendant trente ans avec de grands toreros, français et espagnols.


Une histoire des éleveurs de toros braves de la province de Salamanque

 

Cet ouvrage est une sorte d'hommage à toutes les personnes qui ont participé à l'aventure que fut et continue d'être, malgré toutes les vicissitudes, l'élevage du toro brave dans la province de Salamanque. Il s'agit d'un voyage à travers le temps et à travers cette province si attachante, parcourant la dehesa en passant par des lieux historiques comme Continos, Villar de los Alamos, Terrones, Coquilla et beaucoup d'autres. Au fil de plus de 400 pages, on peut y suivre l'évolution des ganaderias, marquée par le contexte des différentes périodes de l'histoire de cette contrée. On y croisera les personnages, célèbres ou modestes, qui apportèrent leur contribution à cette épopée ponctuée d'évènements parfois glorieux, mais parfois aussi dramatiques. Dans plusieurs annexes, on trouvera les arbres généalogiques des principales familles d'éleveurs, des schémas synthétiques permettant de suivre l'évolution des principales ganaderias, une liste des lieux d'élevage de la province de Salamanque et plusieurs cartes de situation. Nous espérons que vous prendrez autant de plaisir à la lecture de cette «enquête» que nous en avons pris à la réaliser 

Une histoire des éleveurs de toros braves de la province de Salamanque par Lilian de Normandia A commander sur le site Amazon.fr Prix: 30 euros 

 

 

Morgan Mirocolo présente….

 

 Rêverie Taurine une Édition limitée à commandé sur la page facebook de l’artiste. Titre de l'œuvre : "Rêverie Taurine" Médium : Impression fine art sur papier d'Art 100% coton

Taille : 42 x 59,4 cm (A2) Édition limitée : 25 exemplaires, numérotés et signés par l'artiste

 

Prix : 50 €

De Walt Disney à la tauromachie

 

Paru aux Editions du diable Vauvert. Frédéric Saumade analyse la mythologie populaire parallèle mais contradictoire née des spectacles et de l’élevage taurins, qui ressort aussi bien de la culture aficionada (le taureau de combat sacralisé), que de la culture mainstream (le taureau illustré par le cinéma disneyen). Articulant l'approche objectiviste des sciences humaines avec l'expression littéraire de souvenirs personnels et de la charge émotionnelle qu'ils contiennent, l'anthropologue de l'université d'Aix prend résolument le contrepied des idéologies radicales qui revendiquent, au nom du bien-être et de l'abolition de l'asservissement animal, la fin de toute activité d'élevage, la reconnaissance d'une personnalité juridique à la nature et l'exaltation d'un retour écologiste à un état prénéolithique de l'humanité, supposément édénique. Frédéric Saumade analyse la mythologie populaire contradictoire née des spectacles et de l'élevage tauromachiques, qui ressort aussi bien de la culture aficionada (le taureau de combat sacralisé), que de la culture mainstream (le taureau illustré par le cinéma disneyen).
L'anthropomorphisme prêté par les uns et les autres au bovin héroïque n'est qu'un avatar d'un même enchantement néolithique, qui transforme l'animal d'élevage en être familier. Supprimer l'élevage pastoral, d'une grande richesse ethnographique et écologique, et se délivrer des animaux, signifierait la disparition de cet enchantement et, avec lui, d'une relation pluri millénaire.L'essai d'un anthropologue au coeur du débat sur la relation homme-animal Frederic Saumazde est professeur d'anthropologie sociale à Aix-Marseille Université et membre de l'Institut d'ethnologie méditerranéenne, européenne et comparative

Les Sacrifiés

 

Un roman de Sylvie Le Bihan, paru aux Éditions Denoël

 Encarnación López Júlvez "La Argantinita" et Juan Ortega, une histoire d’amour à la vie, à la mort autour de Joselito El Gallo, Ignacio Sanchez Mejias et Federico Garcia Lorca…

 

« Dans les mots que la vieille femme déposa au creux de son oreille, Encarnación perçut le murmure d'un oracle lointain : “Éloigne de toi ceux que tu aimes, car la nuit les engloutira et tu porteras leur corps...” » À l'âge de quinze ans, alors que la famine sévit dans son Andalousie natale, Juan Ortega quitte sa famille pour devenir le cuisinier d'Ignacio, un célèbre torero. Dans son sillage, à Madrid, New York et Paris, Juan se laisse happer par l'effervescence des années folles. Il croise la route du poète solaire Federico García Lorca et se consume d'amour pour Encarnación, danseuse de flamenco, muse de toute une génération d'artistes et amante d'Ignacio. Mais déjà la guerre gronde et apporte son cortège de tragédies. Hommage passionné à une Espagne légendaire, Les Sacrifiés est un roman d'apprentissage chatoyant qui dépeint la fabrique d'un héros et le prix de la gloire.

Lucia, un roman d’André Blanes

 

Entrez dans l’arène ! Sevilla, La Maestranza, fière bâtisse blanche aux parements ocre. La plaza de toros a des allures d’opéra avec sa porte rouge cloutée de noir. Une porte mythique qui n’ouvre en grand ses deux battants que les après-midi de gloire pour laisser sortir, emportés sur une marée humaine, les toreros triomphants juchés sur les épaules des aficionados. Une sortie pour rentrer dans l’histoire avec un grand H ! Rafaël passe là tous les soirs, et tous les soirs résonnent dans sa tête la rumeur, les clameurs de l’arène. Tous les soirs, il se rêve là, prépare le scénario, la mise en scène… Avec l’aide de Dieu, c’est pour lui que s’ouvrira un jour la porte du prince, la porte du bonheur ! Ça ne peut pas en être autrement, il est prêt. 

André Blanes en aficionado à los toros il fréquente le milieu professionnel de la corrida en qualité de « mozo de espadas » Il en tirera son 1er roman paru aux Editions Nombre 7

Le dernier torero

 

Un roman de Camille de Villeneuve paru aux Editions Gallimard 

 

Sandra est une des rares femmes toreros. Elle a toréé dans les arènes les plus illustres, jusqu'au terrible coup de corne qui l'a laissée à terre. Décidée à reprendre les combats, elle retourne voir le toro qui l'a blessée, et qu'elle a gracié, dans une ganaderia où il coule une retraite paisible. Après avoir eu un long dialogue silencieux avec lui, peut-être pourra-t-elle repartir à la conquête des arènes ?L'écriture souple et nerveuse de Camille de Villeneuve nous fait pénétrer avec subtilité dans le monde complexe de la corrida, loin du folklore taurin et des déclarations radicales que ce sujet suscite d'ordinaire. L'amour, l'engagement, le désir, le courage s'incarnent dans le laboratoire circulaire de l'arène où s'affrontent les passions, où se nouent les destins. Ce roman, d'une grande liberté de ton et de pensée, n'est pas un plaidoyer pour la survie du rite tauromachique, mais un constat mélancolique sur l'aveuglement volontaire d'une modernité qui ne veut plus regarder la mort parce qu'elle ne sait plus aimer la vie. 


Des Dieux des toros des hommes.

 

Auteur : Jacques Lanfranchi, El Kallista. Disponible chez l'auteur, Téléphone : …0643219020

Après " Pierre Schull, le rêve brisé, Cornitologie et le Cercle Rouge, Jacques Lanfranchi "El Kallista" nous propose, par ce quatrième ouvrage, de découvrir le monde des Ex-votos .

Son propos n'est pas éloigné des Tauromachies, bien au contraire, comme en témoigne la préface écrite par José Manrubia, matador de toros, plasticien : "La tauromachie comme l’ex voto vient raconter une histoire, le conte de miracle accompli. L’histoire d’une humanité naissante, hésitante et fragile, ayant pour seule arme disponible à sa survivance dans cet univers d’une férocité terrible et sauvage; l’intelligence. Cette impérieuse nécessité de survivre, déterminant l’homme à se dresser et regarder l’horizon. Se mettre debout pour scruter et comprendre la terre et par delà percevoir les étoiles. Comprendre les mystères de l’inconcevable s’en faire des alliés. L’ex-voto traduit cette recherche, le prodige de l’appel au Divin, la quête d’une connexion directe auprès des forces cosmiques...."

Nourri de nombreuses incursions en Provence, en Corse, en Espagne et surtout au Mexique, sur une durée de quatre ans, ce livre, haut en couleur (plus de 100 illustrations commentées) nous interpelle sur nos rapports intimes aux "entités" divines, surnaturelles ou familières. Les toros y ont une place originale et peu décrite à ce jour.


 

Vient de paraître : “L'habit de Lumières, un autre regard"

 

L'Union des Bibliophiles Taurins de France a fait paraître le 19 novembre dernier, à l'occasion de son Assemblée Générale au Musée Taurin de Béziers son dernier livre “L'habit de Lumières, un autre regard" écrit par Encarnacion San Nicolas sous le pseudonyme d'Inca Virgoarte. Dans un texte richement documenté et illustré l'auteure montre comment le contexte socioculturel des XVIIième et XVIIIième siècles a conduit des hommes pauvres et illettrés à créer et imposer un habit aussi luxueux que peu fonctionnel. 

112 pages-20€- À commander dans les librairies ou sur le site de l'UBTF: www.ubtf.fr


El toro bravo. Savia del árbol de España  Alicia Giner Casino (Auteur)

 

Le toro, principal protagoniste de ce roman paru aux Editions ExLibric, fait partie du plus bel arbre, l'Espagne. Au fil de ses pages, le lecteur pourra voyager au travers des différentes branches de cet arbre : pâturages, marais salants, champs, champs de blé... Mais le voyage ne s'arrête pas là, car le lecteur trouvera également une défense acharnée de la tauromachie chez une femme convertie à la fête nationale, une femme qui a la terre dans les veines, qui comprend que la plus ancienne fête de notre histoire est vécue de manière très différente dans chacun des coins de ce pays. 

Née à Valencia en 1973, Alicia Giner Casino, avocate, a étudié le piano classique au conservatoire José Iturbi et le droit à l'université littéraire de Valencia. Parmi ses œuvres, citons Daniel, un manuscrito enterrado en el tiempoEl cardenal Juan Bautista Benlloch y VivóUn valenciano al mundo, dans lequel elle rend hommage à un de ses ancêtres, et Entre flores, sangre y arena, dans lequel elle raconte sa première rencontre avec le toro de combat.


Tragedia en juego. Toros y tauromaquia en Miguel de Unamuno

 

Dans Tragedia en juego. Toros y tauromaquia en Miguel de Unamuno, José María Balcells étudie de manière exhaustive la présence du thème de la tauromachie dans tous les écrits d'Unamuno, et propose une nouvelle lecture, alternative à certains égards à celle habituelle et consolidée, de la position de l'auteur sur une réalité conflictuelle si notoire à son époque. L'ouvrage hybride de recherche, d’essai et d’un portrait biographique, s'intéresse à des personnages oubliés dans les biographies d'Unamuno, et précise les constantes et les  évolutions de l'intellectuel basque sur un sujet dont il attribuait les racines séculaires à sa dimension tragique.

Miguel de Unamuno figure parmi les plus grands écrivains espagnols de son époque, dont il est particulièrement représentatif. Il est décrit comme un homme de passions animé par de multiples contradictions, ce qui en fait un personnage assez typique de l'Espagne de la fin du XIXeme siècle et du début du XXeme siècle. Né en septembre 1864 à Bilbao, c’est un poète, romancier, dramaturge, critique littéraire et philosophe espagnol appartenant à la génération de 98.

Professeur aux universités de Barcelone et de Rovira i Virgili à Tarragone, professeur de littérature espagnole et maître de conférences à l'université de León, José María Balcells est l'auteur de diverses études, éditions et monographies sur les écrivains du Siècle d'Or espagnol, notamment Fray Luis de Granada et Francisco de Quevedo... Paru chez UJA Editorial (Jaen)


La fin de la fête

 

Dans cet essai magistral, best-seller en Espagne, Rubén Amón interroge une société qui marginalise la tauromachie, et en fait du même coup un enjeu. Quel malentendu peut expliquer l'hostilité de l'écologie, alors que l'élevage et la culture des taureaux représentent un territoire d'exception et de conservation unique ?
Mais les tauromachies placent face à ses tabous et ses angoisses une société qui voudrait contrôler la mort, la nature, les rituels et les défis extrêmes. Et Rubén Amón porte le paradoxe jusqu'à montrer que la culture taurine est aujourd'hui un espace de subversion et de résistance à la normalisation qui la rend aussi plus attractive que jamais.
« Un livre très documenté, percutant, sans jargon, excitant, sur la tauromachie dans son rapport plus que conflictuel, antinomique, avec la société contemporaine noyée dans la bien-pensance. » Jacques Durand 
Un essai best-seller de Rubén Amón paru aux éditions du Diable Vauvert


La dernière chance de Lagartijo

 

Pour la dix-huitième édition, le Prix Hemingway est remporté par Antonio Blázquez-Madrid, pour une nouvelle touchante et pleine d’humour où un prétendu torero, surnommé « le lézard », se retrouve pour la première fois au centre de l’arène…
Les meilleures nouvelles de l’édition 2022 nous emmènent des gradins à l’orchestre, des studios de photographes aux violences conjugales, des fins fonds de l’Andalousie aux bas-fonds des cités, pour un voyage taurin de haute volée, sombre, lumineux et étonnant.

Antonio Blazquez-Madrid a donc remporté l’édition 2022 avec sa nouvelle « La dernière chance de Largatijo » succédant à la Belge et ancienne lauréate Hélène Goffart. 

Né en 1952 à Salamanque, il est l’auteur de plusieurs romans publiés en Espagne et aux États-Unis, et de plusieurs nouvelles. Il est également économiste, et fondateur du Groupe d’écrivains Primaduroverales.


"Pierre Pouly, matador du Pays d'Arles"

 

L'UBTF vient d'éditer un livre sur Pierre Pouly dont la parution est prévue pendant cette féria de Pâques. "Pierre Pouly, matador du Pays d'Arles", tel est l'ouvrage que Joël Bartolotti et Alain Fargier ont consacré à l'emblématique maestro arlésien, mais aussi rejoneador, ganadero, empresa des arènes, résistant et... maire d'Arles !  

Il convient de signaler que l'ouvrage est disponible dans les principales librairies des villes taurines, ainsi que sur le site : www.ubtf.fr et qu’il sera présenté et dédicacé dans de nombreux lieux au cours de la Feria Pascale


"Toréer pour vivre... libre"

 

Le dernier livre de la collection la Verdad Editions Gascogne: "Toréer pour vivre... libre"

d'Yves Lebas vient de sortir.

Patrick Varin a une place à part dans la galaxie des toreros français. C’est une étoile à la fois lointaine et lumineuse dont le nom évoque des souvenirs forts mais qui n’a jamais quitté l’actualité de cet univers brillant. Patrick fait partie des pionniers et avec eux il a vécu mille aventures romanesques. Mais il est différent des autres par son milieu d’origine, la banlieue lyonnaise, et surtout par la ligne qu’il adopta d’emblée : devenir un torero artiste . Cette dimension artistique du torero il l’a toujours assumée, portée, communiquée dans et hors de l’arène. En ce sens c’est un être précieux et unique, à part d’un milieu dont il est solidaire. 

C’est cette aventure intime de Patrick, ce choix de vie original, que nous fait découvrir Yves Lebas, un de ses proches, président de l’Ecole taurine d’Arles, auteur de plusieurs ouvrages. Un livre qui lève le voile sur un des toreros qui a le plus compté dans l’histoire de la tauromachie française, un être sensible et secret. Un homme attachant, qui transmet désormais son expérience unique aux générations montantes.


« Pamplona - Encierros », de Michel Brès

 

Textes et photographies pleine page couleurs de M. Bres. Préface de Daniel J. Valade. L'auteur est depuis quatre décennies un fidèle de Pampelune. Depuis lors, il scrute les moindres éléments d'organisations. Il nous propose une vision aigue de cette manifestation annuelle, le plus célèbre encierro au monde, rituel immuable. 

Volume in-4° (format 24,5 x 30cm) cartonné rouge, illustration reco-verso, 344 pages.

 

Ce livre, édité à compte d’auteur, on peut le trouver dans trois librairies nîmoises (Goyard, L’Itinéraire et Teissier). Pour les gens qui seraient intéressés, contacter l’auteur par courriel michelbres06@gmail.com (50€ + frais d’envoi). 


Jacques Teissier : Tauromachie, l’éternel scandale

 

Un nouvel essai polémique pour la tauromachie par l’abbé des arènes de Nîmes à paraître le 14 avril…

 Prenant  acte  du  mouvement  animaliste  mais  aussi de  la nécessaire question de la souffrance animale, Jacques Teissier pose  la  question  centrale du  livre, tout  à  fait  passionnante: comment  trouver encore un  sens  à  la  tauromachie,  et  donc essayer de la justifier? Question d’autant plus intéressante que l’auteur nous la pose après  avoir  introduit  au  premier  chapitre Un  tsunami  culturel, l’indiscutable  considération  écologique  et  le  basculement philosophique  et  moral  qu’elle  entraîne  quant  à  la  place  de l’Homme.  Pour  y  répondre,  le  père  Teissier  propose  une approche  résolument  nouvelle  et  courageuse:  entendre l’argument et la sensibilité anti-taurine pour ne pas risquer de rester campésur des positions aussi aveugles qu’obsolètes. Mais comprendre également ce qui, depuis ses origines, fait de  la  tauromachie  une  pratique  populaire  et  artistique éminemment subversive, longtemps condamnée par l’Église. Et de nous interroger: si cette subversion était précisément de mettre en scène la mort au cœur de nos vies? Un essai brillant et iconoclaste, et un plaidoyer pour la liberté de penser.

      Dans  les  arènes  de  Nîmes,  il  y  a  les  toreros,  les monosabios,  les  chevaux,  les  petites  mains...  et  un  curé. Figure  emblématique  des  ferias  de  Nîmes  dont  il  est l’aumônier depuis près de trente ans, en passant par Alès, jusqu’à  Carcassonne,  l’abbé Jacques  Teissier est une figure unique et admirable de l’aficion français,  qui  n’hésite  toujours  pas  à  se  mesurer  au  jeune bétail muleta en main! Depuis sa prime enfance, cet homme de foi qui a mis sa vie  au  service  d’autrui,  n’a  jamais  pu  «lâcher la tauromachie», sa seconde passion reçue en héritage familial nîmois. Conférencier  érudit,  il  a  publié  de  nombreux  ouvrages, comme L’abbé des toreros, La corrida au 21ème siècle, La corrida effraction salutaire.

 

Vient de paraitre à l’UBTF

 

 Commerçants, rêveurs ou escrocs ? "Ils sont trois personnages que l'on peut considérer comme les précurseurs du métier d'empresa. Marc Thorel nous raconte l'histoire de ce français et de ces deux espagnols qui ont introduit la corrida en France entre 1850 et 1900. Le titre du livre nous laisse deviner le caractère pour le moins aventureux de ces hommes qu'il décrit avec sa verve et son humour habituel " A commander sur le site de l'Union de Bibliophiles Taurins de France : www.ubtf.fr  (18 € + frais de port)

La bonne distance

Dans ces courts, tirés pour la plupart des jours heureux où, avec son frère, le grand matador Nimeño II, ils bâtissaient une des plus singulières aventures humaines que cet art puisse offrir, Alain Montcouquiol pose un regard plein d’affection sur les hommes, leurs peines, leurs grandeurs et leurs ridicules. Un regard à la bonne distance.

Si Alain Montcouquiol n’est pas le frère d’une statue (celle qui se trouve près des arènes à Nîmes), il n’en bâtit pas moins, à travers ces lignes, un monument aux héros oubliés, aux hommes, les humbles, les pauvres, les vaincus qu’il a croisés pendant toutes ces années, et que le rêve anachronique de la corrida sublime et transcende.

Lea Vicens

 

L’icône star du rejoneo photographiée par le meilleur photographe équestre espagnol.

Un album somptueux ecrit par ecrit par Ramón Azañón, plus de 200 photos. Préface de Jacques Durand. Textes de Rubén Amón, Simon Casas, Gérard Dupuy, Antoine Martin, Ángel Peralta, Zocato

« Léa, donc, le risque, l’aventure, la radicalité comme il sied, sans petites roues pour l’équilibre. Partie sans parler la langue, sans connaitre vraiment le pays ni l’art du rejoneo qui est aussi un art de la tresse ; un cheval, quelqu’un dessus, un toro. Le but ? Tresser ces trois fils, broder là-dessus, bordar el toreo disent les plumes taurines qui font dans la dentelle métaphorique. Être trois et, pendant quelques moments privilégiés à la précision millimétrique, ne faire qu’un. »

 Parvenue depuis 2017 au sommet du classement mondial en seulement quelques saisons, un exploit encore jamais réalisé, la française Lea Vicens a imposé sa grâce et  son style. Torera d’époque, elle réunit la douceur et l’équilibre d’une équitation sans violence et l’interprétation la plus pure du toreo à cheval transmise par le grand maître Angel Peralta. Elle vit depuis plus de dix ans en Andalousie près de Séville une aventure artistique et équestre incroyable, nourrie de travail, de courage, de grâce et d’abnégation. Paru aux éditions : Au Diable Vauvert

Instantes de arena, Instants de sable

 

 Gestos y palabras de una tarde de toros, Gestes et paroles d’une après-midi de toros

Préface de Andrés Amorós. Avec des commentaires de Miguel Abellán, matador de toros

Photographies de Muriel Feiner et Andrew Moore

 

Il s’agit du tout dernier ouvrage de François Zumbielh paru aux Ediciones Temple (Madrid), ouvrage bilingue espagnol-français.   

Tout ce qui survient dans une corrida est réalité, mais aussi représentation. Il est clair ici qu’une représentation n’implique pas une absence de vérité, mais une vérité qui se situe au-delà des apparences physiques, et qui peut se lire grâce à elles. C’est ce que permettent les signes. Essayons donc de lire certains des innombrables signes que nous proposent les instants d’une après-midi de toros. Les souvenirs d’une après-midi de toros sont aussi une poignée de sable, mais quelques grains vont nous en rester, le temps que notre esprit se maintiendra en éveil.

 

François Zumbiehl a longtemps vécu en Espagne et en Amérique du Sud où il a occupé plusieurs postes de conseiller culturel diplomatique auprès de l’ambassade de France de divers pays. Agrégé de lettres classiques. Docteur en anthropologie culturelle. Écrivain.   Il est aujourd’hui le directeur culturel de l’Union latine. Depuis plus de trente ans, François Zumbiehl fréquente les toreros, les éleveurs et les aficionados. Et sa biographie est déjà bien fournie avec plusieurs ouvrages  consacrés au monde de la tauromachie : Le discours de la corrida. Des taureaux dans la tête. Manolete, Autrement. Une brève histoire de la corrida. Dialogue avec Navegante. Le Calife -Manolete- Taurines (1980)

Rejoneadora

 

Mexique. Fin du XIXe siècle. Ana del Rey, jeune européenne fraîchement débarquée avec ses étalons lusitaniens, rêve d’inventer la corrida à cheval. Elle fait la connaissance d’un curieux cowboy, Harper J. Lee, qui voudrait être l’ange gardien de la belle cavalière et partage sa passion pour les toros. Mais dès le premier spectacle de la rejoneadora, un meurtre est commis dans les arènes, et c’est Ana qu’on suspecte immédiatement. Hommage au western spaghetti, Rejoneadora mêle avec jubilation exotisme, aventure et amour, tauromachie et art équestre.

 

Un livre de Frederic Coudron paru aux éditions : Au Diable Vauvert

La corrida en Pays Landais, histoire taurine de St Vincent de Tyrosse.

 

  " Saint- Vincent de Tyrosse n'est pas qu'une place de course landaise, la corrida espagnole y a également acquis ses lettres de noblesse grâce à des passionnés comme Philippe Gélez. Il nous avait confié son manuscrit avant que la maladie l'emporte, cette histoire taurine est le témoignage d'une vie consacrée à la tauromachie "

Format 16/24- Nombreuses illustrations- Prix: 20 € à commander sur le site ubtf.fr

L'Union des Bibliophiles Taurins de France sera présente à Vic Fezensac, plusieurs auteurs seront sur place pour dédicacer leurs livres.

Rafael Canada - Oir, ver y callar

 

 Si une seule vie d'un torero romantique devait être écrite, nul doute que celle de Rafael Canada, torero hendayais, serait parmi les nominés. Ce livre est l'histoire d'un torero bohème qui nous conte le tourbillon de ses aventures, la richesse de ses rencontres, la joie de ses succès et l'épreuve de ses coups de cornes ; un tout qui font l'homme qu'il est aujourd'hui. A l'heure où les écoles taurines apprennent les gestes de la corrida, ce sont bien les aventures et les mésaventures qui forgent le caractère, enrichissent l'esprit et affûtent les sens d'un torero.
Rafael Canada n'a jamais voulu passer par une école taurine, d'abord parce qu'il n'aime pas l'école, mais surtout parce qu'il préfère apprendre au gré des rencontres et des épreuves. Dans ces pages, Rafael partage la romance de ses premières passes, les secrets des histoires d'hommes de lumière et la douceur des nuits passées sous un capote. Il raconte les grands moments de sa vie d'aficionado, novillero, matador de toro, banderillero et apoderado ; sans oublier ce dernier coup de corne à Valence, les mois d'hospitalisation et la reconstruction qui ont suivi. Les histoires d'amour sont belles, parfois tumultueuses mais il faut les vivre avec une intense passion ; sans remords ni regrets. Tel est le credo de son histoire.  Homme bohème et romantique, Rafael Canada est un enfant du pays hendayais. Devenu un torero passionné par la vie et l'animal, il profite de ce nouveau destin qui lui est offert. Une chance après un coup de corne, le 11 mai 2019 à Valence, dont il gardera des séquelles à vie. Aujourd'hui, Rafael échange la muleta contre la plume pour nous conter les milles et une histoire qui ont marqué sa vie de torero et font de lui l'homme qu'il est, fougueux et épicurien.

La chair et le sens : une religion du taureau

 

 Un essai d’André Viard paru aux Editions du Diable Vauvert Un essai sur la mythologie et l’éthologie du taureau qui fera référence, un voyage anthropologique jusqu’aux origines de l’humanité sur les traces du taureau sauvage, que nos ancêtres vénéraient et affrontaient déjà.

 Dans la continuité́ des représentations du Paléolithique et des cultes néolithiques, au travers des mythes magnifiant la force et la fertilité, la culture indo-européenne et la civilisation méditerranéenne célèbrent depuis dix millénaires l’homme qui affronte le taureau.  Faisant dialoguer anthropologie et dimension sacrée, l’auteur dévoile des pans méconnus de l’histoire, tend des passerelles audacieuses et inattendues par-delà̀ les âges et au-dessus des continents, tout au long d’un voyage vertigineux aux origines de l’épopée humaine, quand les ancêtres de l’homme combattaient déjà̀ ceux du Bos taurus, jusqu’à la corrida moderne.  Fresque foisonnante autant que quête initiatique, voici un ouvrage passionnant, imposant et surprenant, engagé et polémique, sur un sujet, notre rapport à l’animal, qui interroge l’ensemble des civilisations humaines.

André Viard est célèbre et incontournable dans le monde taurin. Ancien matador français, doté de tous les talents, il est diplômé en droit, peintre, écrivain, journaliste, photographe, organisateur de corrida, lobbyiste… Il a fondé le magazine Terres taurines, édité en espagnol sous le titre Tierras taurinas, publié des ouvrages qui font référence et constitué un fonds photographique unique. Fondateur de l’Observatoire national des cultures taurines, dont le but est de défendre la tauromachie, il est aujourd’hui le

Les élevages de taureaux braves : Genèse et évolution

 

 Un livre de Bernard Carrère. Depuis plus de 20 ans, Bernard Carrère effectue de minutieuses recherches pour retrouver l’origine et reconstituer l’historique des élevages de taureaux braves dans le monde. Il a publié en 2001, puis en 2007, deux ouvrages de référence sur ce thème. Avec Les élevages de taureaux braves : Genèse et évolution, l’auteur complète et actualise ses anciennes publications. Bernard Carrère y livre un exposé sur l’évolution de la tauromachie à partir du XVe siècle en Espagne, vue essentiellement sous l’angle des taureaux combattus, région par région. Puis l’auteur s’attache à établir un inventaire exhaustif de tous les élevages, anciens ou actuels, regroupés par syndicat. Leur arbre généalogique est présenté sous forme de tableaux synthétiques illustrés par les fers et commentés. Un index finalise ce travail, pour que chacun puisse retrouver, à partir d’un nom de ganadéria, l’origine du bétail qui l’intéresse.

  Après une première bible de la tauromachie, Les élevages de taureaux de combat : origine et évolution (Éditions Jean Lacoste, 2001 et l’Atelier des brisants, 2007) qui a obtenu le prix « Plume d’aigle » de l’ANDA en 2001, et Observer pour comprendre un taureau de combat (Passiflore, 2017), Bernard Carrère livre avec ce nouvel ouvrage, une œuvre colossale, qui se veut unique par sa rigueur, sa passion éclairée, son exigence et sa précision.

Pour toute commande ou renseignements, veuillez vous rendre sur le site internet : https://www.editions-passiflore.com/

Viallat Taureaux de Michel NuridsanyClaude Viallat

 

 Chez Ceysson-Editions d'Art Collection(s) : Modernes Avant-propos François Ceysson, Loïc Bénétière, Bernard Ceysson | préface Aymeric Mantoux | entretien de Claude Viallat avec Michel Nuridsany | texte Matthieu Léglise.  350 reproductions d'œuvres tauromachiques réalisées entre 1956 et 2020 par le peintre français Claude Viallat, qui s'est exercé durant toute sa vie à représenter ces animaux, de diverses manières. Elles sont accompagnées d'une biographie, d'un texte sur les créations de l'artiste et d'un entretien. 

 Ce livre allait de soi tant l’œuvre de celui-ci est portée, animée, par ce que l’on peut désigner comme sa « culture » taurine laquelle frôle moins la religiosité qu’elle ne se constitue dans un jeu et un travail relevant à la fois du rituel et du cérémoniel. Sans s’y appesantir, Claude Viallat s’est exprimé à plusieurs reprises sur cette relation assumée. On peut donc avoir la tentation de comparer le peindre au toreo. Mais, dans le catalogue de la Biennale de Venise, en 1988, Simon Casas soulignait justement que le peintre n’affronte dans sa vie qu’un seul taureau alors que le torero, lui, affronte des taureaux différents. Et il accusait plus fortement cette différence en opposant leur geste : celui du torero se produit dans l’ordre de l’éphémère ; celui du peintre se fixe sur la toile, hors du temps. Mais, le geste du peintre peignant n’est-il pas lui aussi éphémère ? C’est la mémoire du geste, matérialisée, qui s’inscrit dans la toile pour la « faire », pour un présent à jamais.

Ignacio Sánchez Mejías. Sur la tauromachie

 

   « Je crois précisément que ceux qui s’en prennent aux corridas ne peuvent être perçus comme des intellectuels… » écrira entre autre le sevillanissime personnage sur les animalistes de l’époque qui voulaient rendre "acceptable" l’Espagne pour les touristes allemands, et donc faire disparaître la corrida…. On était en 1929 !!!!

 Ce recueil, préfacé par Jacques Durand, edité par Les Fondeurs de Briques dans la Collection Sacrilège rassemble des écrits journalistiques et des textes de conférences des années 1920-1930 jamais publiés en France.

Ignacio Sánchez Mejías (1871-1934) a été torero, homme politique, président du club de football du Betis de Séville, écrivain et journaliste, acteur, homme d’affaires passionné par les avions et les voitures de course, ami des membres de la Génération de 27. Ardent défenseur de la tauromachie et chroniqueur percutant et sans faux fuyants, on retrouve dans ce recueil quelques passes d’armes et répliques cinglantes aux « intellectuels » de la Génération 98 qui voulait la disparition de la corrida.

Le texte central de ce livre est celui de sa conférence sur la tauromachie donnée en février 1930 à l’université Columbia de New York devant un parterre d’étudiants américains, très peu aux faits de la tauromachie, voire opposés…

En 1927 il s’était retiré des arènes quand il décide de reprendre l'épée en juillet 1934. Le 11 août à Manzanares, à le toro « Granadino » de la ganaderia des frères Ayala fusillés pendant la guerre civile comme "ennemis du peuple», le blesse gravement.   Il en meurt à Madrid le 13 aout  après deux jours d'agonie.

Grand ami de Federico Garcia Lorca, ce dernier écrira sur sa mort tragique, son poème Llanto por Ignacio Sánchez Mejías, un des sommets de la poésie élégiaque espagnole.

Vient de paraitre aux Diábolo Ediciones

 

 Une bande dessinée de Manuel López Poy y Miguel Fernández Vázquez "A las cinco de la tarde".

Durant  l'été 1921, le Désastre Annuel, où les Riffiens marocains tuent plus de 10 000 soldats espagnols, met la monarchie d'Alphonse XII et les classes dirigeantes dans le collimateur du mécontentement populaire.  Cette année-là, le protagoniste de notre histoire est né, un garçon qui finira par réaliser son rêve, être un torero.

“A las cinco de la tarde” est un roman graphique sur la naissance et la vie d'un torero et un voyage à travers plusieurs décennies de l'histoire de l’Espagne.

Manuel López Poy et Miguel Fernández Vázquez dans cette œuvre exceptionnelle, marquent 'histoire en étant les premiers auteurs à réaliser un roman graphique se déroulant dans le monde de la tauromachie.

Vient de paraitre « Les taureaux font du cinéma »

 

 « Les taureaux font leur cinéma » un livre de Guy Suire, Préfacé par Julien Lescarret. Avec un bilan en manches courtes, le cinéma taurin n’occupe qu’un modeste strapontin dans l’Histoire du 7ème Art. Les taureaux font leur cinéma est un inattendu ouvrage d’un genre inconnu, une approche insolite de la corrida sous l’angle du cinéma. On y croise les plus grands réalisateurs, des ringards patentés, des vedettes de premier plan, des hésitants, des starlettes vouées au « monton ». Comme nombre d’apprentis. La patiente exploration de quelques 344 films et 30 ans de recherches révèlent, au delà de la carte postale, des clichés de l’espagnolade et des champs de navets, un univers déroutant, fragile, sensible et perles précieuses trouvées. Du sirupeux mélo tropical au porno, du policier à la romance, du kitsch à l’humour noir, du western spaghetti au film expérimental. Burlesque compris. L’extravagante anthologie du cinoche primée à Hollywood, Berlin, San Sebastien, Cannes, Mexico, Moscou… Brisbanne. Commande du livre par internet :https://2guyber.company.site


Le livre ′′ Miura, a corazon abierto "

 

 Plus de 750 photographies, sur les 500 pages du livre écrit par José Joaquín Diago en collaboration avec les Miura, ganaderos, et auquel ont participé les toreros Eduardo Dávila Miura, Pablo Aguado, Javier Castaño, ′′ Rafaelillo ", Manuel Escribano, les subalternes David Adalid, Fernando Sánchez et Marco Galán, le picador Antonio Fernandez avec des interviews de Francisco Ruiz Miguel et Pepe Luís Vazquez. Les journalistes et écrivains José Luís Benlloch, Antonio Burgos, Alberto García Reyes, Antonio García Barbeito, José Ribagorda, Barquerito, Javier Lorenzo, Alejandro Martinez, Enrique Romero et Chapu Apaolaza ont également apporté leur contribution. Ignacio Sánchez Mejías a écrit sur la relation entre Joselito El Gallo et l'élevage de Miura, Andrés Luque Teruel, Docteur en histoire de l'art et professeur à l'université de Séville, sur la relation de la famille Miura avec la Hermandad de la Macarena, le vétérinaire de la ganaderia, Juan Miguel Mejías, parle des particularités des toros de Miura. Guillaume François et Florent Moreau écrivent sur leur histoire avec les arènes de France. Eduardo Canorea écrit sur les liens entre cet élevage de Miura et La Maestranza de Seville et José Maria Marco, président de la commission taurine de la Casa de Misericordia en fait de même avec Pamplona. Plus des témoignages d’aficionados à ce fer légendaire, mythique…

Le toro de Miura au campo et dans les arenes et dans la rue un livre complet, unique fruit de relations à cœur ouvert entre  ganaderos, toreros, journalistes, ecrivains, aficionados autour d’une ganadería unique au monde.


Livre Locos Jacques Durand Hervé Di Rosa

 

 Presentation de la dernière réalisation en coédition, Atelier Baie et Hugar. Du fait main. Un mano a mano. Six textes de Jacques Durand et six dessins d'Hervé Di Rosa (format 70 x 70 cm) imprimés en six cahiers pliés in-octavo, assemblés et reliés à la main en un livre. La corrida étant déraisonnable, Locos l'est aussi. Un livre bizarre avec des histoires de cinglés écrites à la main, des dessins délirants, une édition hors du commun. La couverture est sérigraphiée sur des cartons naturels, les textes et cinq dessins sont imprimés en offset. Le 6me dessin est sérigraphié en quatre tons directs. 25 exemplaires sont numérotés et signés par Hervé Di Rosa. Locos numérotés : Vous pouvez choisir le numéro s'il n'est pas déjà réservé. Le tirage hors numérotés est limité à 135 exemplaires. Plus d’informations sur la boutique d’Atelier Baie : http://www.editions.atelierbaie.fr/


Le livre "Nîmes et ses arènes", tome 2 le cadeau bis d’une Nîmoise à sa ville

 

 Vivant à Madrid, Fanny Jourdan-Gal a recueilli, pendant le confinement, témoignages et souvenirs d’aficionados et personnalités du monde taurin évoquant l’amphithéâtre.  Que vous inspirent les arènes de Nîmes ? De cette question, à laquelle ont répondu une cinquantaine de personnes, parmi lesquelles des toreros et des anonymes, est né un livre, "Nîmes et ses arènes, pensées, confinement et état d’urgence". Il a été écrit par Fanny Jourdan-Gal, une Nîmoise de 33 ans vivant à Madrid où elle est chargée de communication et de développement dans un cabinet d’avocats.

Le second tome contient notamment de nouveaux textes, tels que ceux des Maestros Paco Camino et Diego Urdiales, ou celui du journaliste et porte-parole de la fondation du toro de lidia Chapu Apaolaza. Les œuvres d’artistes tels que le peintre colombien  Diego Ramos, le peintre madrilène César Palacios ou encore Loren nous accompagnent également au fil des pages.

Bénéfices reversés aux éleveurs français : un acte de générosité par la même occasion puisque les bénéfices seront reversés à l’association des éleveurs français de toros de combat. Nîmes et ses arènes, pensées, confinement et état d’urgence, 10 € et plus si affinités. Disponible à partir de ce vendredi, 14 h, à l’Itinéraire, 5, rue des Arènes. En commande aussi à nimesysuplaza@gmail.com.


 

 

Livre : Mi vida inventada de Sancho Dávila Iriarte

 

 C’est un livre taurin, un livre Andalou qui commence à Cadix... Un livre qui parle de José Antonio, qui se démarque du fascisme et de la dictature. Pour le commander : 

sanchodavilai@gmail.com . Envoyez vos coordonnées complètes pour le recevoir en PCV... 22€ pur un bon cadeau de Noël.


Bordeaux : capitale tauromachique…

 

 L'Union des Bibliophiles Taurins vient de sortir son tout dernier ouvrage sur la tauromachie à Bordeaux. Dans cette étude exhaustive de la tauromachie en Gironde depuis les jeux du cirque de l'époque romaine jusqu'aux corridas à Floirac, Antoine
Briscadieu nous rappelle avec enthousiasme dans cette œuvre
monumentale, non seulement que la tradition taurine est très ancienne en
Gironde mais que Bordeaux mérite le qualificatif de '' capitale tauromachique''.
Format 16/24, 406 pages, très nombreuses illustrations originales, prix: 25 €
À commander sur le site de l'Union des Bibliophiles Taurins de France : ubtf.fr

 


La Tauromachie - Histoire et dictionnaire

 

 Chaque année, des centaines de milliers d’aficionados s’enthousiasment pour ce spectacle hautement ritualisé qu’est la corrida. Attestée depuis le XVIe siècle, principalement en Espagne, mais aussi au Portugal, en Amérique latine et en Afrique du Nord, la tauromachie est un art qui a ses règles, une cérémonie dont les grands prêtres sont des idoles pour le public et une industrie qui fait vivre des villes entières. Ce « Bouquins », de conception inédite, propose au non initié une synthèse, par les meilleurs spécialistes, de l’Histoire de la tauromachie suivie d’un Dictionnaire contenant quelque 600 notices biographiques pour faire connaître les membres de cette microsociété qu’est le mundillo, 300 articles consacrés aux élevages, aux places taurines, aux termes techniques, des tableaux généalogiques des races de toros, des armoiries, des dessins, des indications bibliographiques… Un guide unique pour découvrir ce monde étrange et fascinant.(Sous la direction de Robert Bérard) - Édition Laffont - collection "bouquins" 


 

Arènes de Béziers : 120 ans de passion taurines, lyriques, festives…

 

 Dans un format de 21/30cm, prés de 500 pages de textes (dont  plus de 290 sur la Tauromachie) rédigés par de nombreux rédacteurs comme Pierre Alazard, Francis Andreu, Gerard Bel, Hugues Bousquet, Robert Cavalié, Michel Fournier, Jean-Pierre Nitus, Jean Sagnes et Max Tastavy, auxquels il faut ajouter de nombreux témoignages. Une très riche iconographie (plus de 350) dont des photographies de Patrick Colleoni, Roger Mimault, Noël Morato, Robert Rivière, Joël Sidobre, Pierre Saliba... En vente à la librairie du Chameau Malin, 9 rue Montmorency à Béziers (06 13 05 50 05 Editions. le Chameau malin


Apologie d'un intérêt controversé, la tauromachie

 

 Le toro bravo, race de taureau sauvage, risque de disparaître et plus vite que les glaciers du Groenland. Paradoxalement, les droits des animaux en sont à l'origine. Dans les médias, le jugement et les informations sont souvent très sommaires et superficielles. La corrida est négligée, alors qu'elle fait partie d'une culture ancienne en Espagne, dans le Sud de la France et quelques pays d'Amérique latine. Le monde taurin regroupe bon nombre de pratiques, de multiples professions et des évènements méconnus. L'enjeu est la taille et la chance le minime de survie. Ce récit très personnel, est une plongée dans le monde taurin, au cœur de l'arène.

 Éric Corijn (1947) est philosophe de la culture, sociologue et professeur et Études Urbaines à la Vrije Universiteit de Brussel. Il est également diplômé en zoologie, psychanalyse et sculpture monumentale, membre actif dans des conseils et associations, il est l'auteur de plus de 300 publications. Aux éditions bitbook.be


 

A lire et à découvrir…

 

 Le livre "Paco Cespedes. Pilar de la Tauromaquia en Pérou" en version numérique.

Une publication réalisée à partir de la plateforme DESIGNRR à l’occasion du 96eme anniversaire du maestro péruvien et qui est librement accessible avec le lien ci-après : Lire. Photos - Affiches originales - Reseñas - Données inédites - Ferias - Arenes - Ganaderias - Hommages – Références….. Etc.


 

 

Vient de paraitre

 

Au campo avec Jean Duverdier…. 80 pages de dessins humoristiques à commander directement à jean.duverdier64@gmail.com ou en appelant le 06.09.12.94.90 au prix de 25€, frais de port inclus…

 


Viennent de paraitre ….

 

Un livret avec un poème taurin de Miguel Hernandez qui fait suite à celui de Federico Garcia Lorca Essai sur le taureau en Espagne, déjà paru (avec une autre traduction) dans la Gazette de l'UBTF.   Un livret que les éditions Méridianes ajoutent à leur collection Taurines….

Dans le prolongement de la publication du célèbre poème de F. Garcia Lorca ”Chant funèbre pour Ignacio Sánchez Mejías” (Llanto por Ignacio Sánchez Mejías), accompagné de 44 dessins de Claude Viallat, L’essai ou poème sur le taureau en Espagne est un bref texte du poète andalou qui, lors d’une allocution destinée aux auditeurs argentins prononcée en août 1935, chante la passion du peuple espagnol pour le taureau. Passion festive et tragique qui a  puissance d’un culte sacré et dont avec une extrême concision, Garcia Lorca donne toutes les dimensions – sociales, religieuses, esthétiques... Au verso de l’ouvrage : un dessin de Claude Viallat : Essai pour le Llanto. Encre de Chine sur papier Canson, 33 x 42 cm. Tirage : 600 exemplaires au format 14 x 10 cm plié ; 42 x 60 cm déplié ; dont 30 exemplaires sur Arches numérotés de 1 à 30 accompagnés d’une estampe numérique numérotée et signée du dessin de Claude Viallat au format 42 x 60 cm.

-Miguel Hernández : J’appelle le taureau d’Espagne (Llamo al toro de Espagña)  Traduction : René Pons Bien qu’imprégné de culture tauromachique (il a écrit quelques notices pour le Cossio), Miguel Hernández a peu écrit de poèmes dédiés aux toreros ou aux toros. Llamo al toro de Espagña - J’appelle le taureau d’Espagne – est daté de 1937-1938 et n’a pas été publié de son vivant. S’il célèbre la force et le courage de l’animal, c’est d’abord qu’il est à l’image de l’Espagne républicaine partagée entre tuer et mourir. Mais l’appel premier est celui “de se lever” et de “faire face” pour “se libérer”. 1 feuille recto/verso ; format : 37 x 60 cm; format plié : 12,3 x 15 cm. Prix 10 € + 1,50 de port Le poème est accompagné de dessins de Vincent Bioulès : 2 à l’encre et 14 à la gouache et au pastel, 2020, 12 x 14,7 cm.    Commande auprès des éditions Méridianes, 6 rue Salle l’Evêque, 34000 Montpellier / editionsmeridianes@gmail.com www.meridianes.fr


Emilio de Justo Les Clés du triomphe

 

 Livre d'entretiens du journaliste taurin Antonio Arévalo avec le matador Emilio de Justo où ce dernier retrace son parcours, les épreuves qu'il a dû surmonter, ses échecs mais aussi ses plus belles victoires. Il nous parle également de l'intimité du torero, de ces moments de solitude où germe le toreo, de sa préparation, aussi bien physique que mentale et bien entendu du toro, de ce qu'il lui a appris et de ce qu'il lui transmet.

Dans le livre est inséré un cahier illustré avec de remarquables photos et les dernières pages sont consacrées aux témoignages de personnes qui lui ont été et lui sont toujours proches, comme l'éleveur Victorino Martín, son banderillero « Morenito d'Arles » et celui qui lui apprit à manier les leurres au tout début, le matador Rafael Cañada.

Si vous souhaitez vous procurer ce livre, il est désormais disponible chez votre libraire ou sur Amazon, Cultura, Décitre, Fnac...  « Emilio de Justo Les clés du triomphe » aux Éditions Gascogne. Prix : 15 €.

 

A découvrir…

 

 Dadas las restricciones impuestas por el estado de alarma, no es posible presentar en público el libro: "Viaje por las Lunas del Toro". Entre tanto y hasta que lleguen estos momentos, aquí tienes el videoclip promocional del libro  y su oferta de lanzamiento ( 10 €/unidad Mínimo 5 unidades Gastos de envío 5 € Tel. 629 501 713 info@templesl.com) Las fotografias taurinas de Rafael Villar Moyo 'Viaje por las lunas del toro' son 155 imágenes con temática taurina que recogen, con la personalidad que le da Villar, un recorrido entre el campo bravo y las plazas de toros.

 

Un toro dans la reine : et autres nouvelles du Prix Hemingway 2020

 

 Pour la première fois, le Prix Hemingway est remporté par une femme ! Élise Thiébaut, seizième lauréate, signe une nouvelle féministe et iconoclaste où les arènes tirent le fil de l’amour maternel. Les meilleures nouvelles de l’édition 2020 déclinent la perte des parents et la fin d’une histoire, inventent de nouvelles scènes pour la tauromachie, trinquent avec Hemingway, confrontent les époques et imaginent la tauromachie dans le siècle qui s’ouvre. Paru aux editions du Diable Vauvert…

L’auteure  Élise Thiébaut a été journaliste et a notamment publié Ceci est mon sang, petite histoire des règles (ed. La Découverte).

Au bout de son sang….

 

 Hugo, jeune Biterrois tout juste âgé de 19 ans, décide après l'abandon de sa mère et le décès de son père, de partir en Andalousie pour devenir matador de toros. Il s'installe dans un petit village blanc, où il va tout faire pour forcer son destin. Au fil des jours, il va y rencontrer, l'amitié, l'amour et même la haine. Sur son chemin des obstacles vont se dresser, des révélations vont bouleverser sa vie, mais il n’abandonnera jamais son rêve...... Paru aux éditions du Lys bleu…

 De nationalité franco-espagnole, Richard Vilaplana Gavalda partage aujourd’hui sa vie entre la région Occitanie et l’Andalousie. Il a été, pendant dix-neuf ans, Maire de la Commune de Fayet, sur le département de l’Aveyron, ainsi que président de la Communauté de Communes de Camares et vice-président du Parc des Grands Causses. Aujourd’hui, les toros, les chevaux et la littérature rythment plus que jamais sa nouvelle existence.

Carlos Olsina, la promesse de l'aurore

 

 Carlos Olsina est un jeune novillero biterrois qui s'est fait remarquer au cours des dernières années dans les arènes françaises, espagnoles et mexicaines notamment. Son toreo fougueux, volontaire et élégant frappe d'emblée le public qui le découvre. La presse taurine le célèbre dans tous les pays où il passe. Les aficionados reconnaissent en lui une graine de figura.
Christian Soleil revient sur le début de carrière fulgurant de ce jeune artiste qui a voué sa vie aux "toros". Carlos Olsina offre à l'auteur un entretien très fourni où il revient sur son goût pour la tauromachie, son attirance pour l'univers taurin, sur les fondements du désir et de la peur qui se tricotent toujours et se répondent en écho. Paru chez Edilivre

Nîmes et ses arènes : pensées, confinement et état d’urgence….

 

 Du début du confinement à la fin de l’état d’urgence en Espagne, la question “que vous inspirent les arènes de Nîmes ?“ a été posée à des journalistes, toreros, apoderados, éleveurs ou encore à des aficionados anonymes. Nos arènes sont restées fermées pour Pentecôtes 2020 mais ont parlé d’elles Victorino, Juan Pedro, Alfredo, Antonio Vazquez, Aguado, Espartaco, Aparicio, Philipine ou encore Esplá pour ne citer qu’eux. Ils font parti des 49 contributeurs. Aucun d’entre eux n’est nîmois et tous ont eu la générosité de partager souvenirs et anecdotes sur nos arènes. Leurs retours sont traduits de l’espagnol au français (ou vice versa) dans un livre d’une centaine de pages, avec pour but de récolter des fonds pour les éleveurs français de taureaux de combat et les cavaleries françaises Philippe Heyral et Alain Bonijol. Prix à partir de 10 euros (ou davantage si vous le voulez et le pouvez). Disponible à la librairie l’itinéraire à partir du vendredi 18 septembre, 14h00 5 rue des arènes, 30 000 Nîmes  Commande(s) possible(s) par email : nimesysuplaza@gmail.com. Envois possibles en France, Espagne et autres.


Sur un nuage de terre ferme, José Tomás à Grenade le 22 juin 2019

 

 Parution en librairie le 16 septembre 2020 Collection “Beaux livres”

Seul commentaire de José Tomás après sa corrida du 16 septembre 2012, qui avait épuisé tous les superlatifs : “Les dieux de la tauromachie étaient avec nous !” Et tous ceux qui furent dans les arènes de Nîmes ce matin-là de penser qu’il ne leur serait plus jamais donné d’assister à pareil miracle. D’où ce premier Tao du Toreo, imaginé par André Velter et Ernest Pignon-Ernest comme une célébration unique et qui, côtoyant le fabuleux, ne devait pas avoir de suite. Faut-il croire que les dieux n’acceptèrent pas de se résigner et voulurent partager encore avec les mortels quelques-uns de ces instants d’éternité dont eux-mêmes n’avaient pas le secret ?  Contre toute attente, le prodige allait en effet se renouveler à Grenade, le 22 juin 2019, passées les fatidiques 5 heures du soir, et le poète et le plasticien, pris à leur propre fascination émerveillée, de tenter une nouvelle évocation, afin de témoigner qu’il arrive que l’insensé, que l’impossible soient tout soudain de ce monde.  Car ce fut à nouveau, le grâce aérienne et profonde. À nouveau, le duende, vertige ascendant qui fait de l’inouï une émotion fatale. À nouveau, une plaza de sable et de ciel subjuguée, et José Tomás qui torée “sur un nuage de terre ferme”, comme il arrivait à Don Quichotte d’accéder aux “îles de terre ferme”.

 Ernest Pignon-Ernest est un artiste plasticien qui a fait de la rue, de Naples à Soweto, de Charleville à Santiago et jusqu’en Palestine, le lieu de son art éphémère qui exalte tout à la fois la mémoire, les événements, les révoltes et les mythes.  Chez Actes Sud, il a collaboré avec André Velter au Tao du Toreo (2014), Dans la lumière déchirante de la mer (2015), Ceux de la poésie vécue, (2017) et Annoncer la couleur (2019). 

 André Velter est un voyageur, poète, essayiste.  Il a publié de nombreux livres, notamment en Poésie / Gallimard : L’Arbre-Seul (2001), L’amour extrême (2007) et La Vie en dansant (2020).


 

Memorias bilbaínas de un Revistero Madrileño

 

 Memorias Bilbaínas de un revistero madrileño’ es un libro escrito por D. Antonio Díaz-Cañabate. En realidad, es un resumen de los prólogos con que abrían sus criticas taurinas de las Corridas Generales de Bilbao, entre los años de 1958 y 1972, que se publicaban en ABC. Estos cuarenta y seis prólogos, son un resumen acerca del costumbrismo bilbaíno, su folclore, la gastronomía, los ritos que se siguen en la plaza de toros de Vista Alegre, etc.etc.

El libro, que no se ha podido presentar debido a la situación sanitaria en que nos encontramos, no obstante, se encuentra a la venta en algunas librerías especializadas, y Amazon (España).

 


Juan Bautista par lui-même…

 

 Jean-Baptiste Jalabert, dit Juan Bautista, se raconte. Fils de Luc Jalabert, rejoneador puis éleveur de taureaux et directeur des arènes d'Arles et organisateur de spectacles taurins, Jean-Baptiste grandit au contact des taureaux et manifeste très rapidement le désir de devenir torero. Devenu Juan Bautista il montre, en corrida, un grand respect du taureau. Exempte de brusquerie comme de trucage, son calme, sa perfection technique et sa science de l'animal feront de lui l'un des acteurs majeurs de la renaissance de la tauromachie française. Il sera toute sa carrière un des leaders de l’escalafon des matadors de toros. Peu après la mort de son père, Juan Bautista annonce le 9 septembre 2018 qu'il cesse de toréer. Il se retire des ruedos après la corrida Goyesque d'Arles en septembre 2019, pour se consacrer à la direction d'arènes et à l'élevage des taureaux.

C'est la première fois qu'il prend la parole pour se raconter, et il dessine un portrait saisissant d'un quotidien rarement évoqué, et d'une sincérité rare. « J'ignore si mon histoire découle d'une fascination pour la tauromachie ou si elle relève de la simple et logique influence de ce que je vivais chez moi au quotidien. Je ne me suis jamais vraiment posé la question, mais si on me demandait quels sont mes premiers souvenirs, j'évoquerais ceux d'un enfant en train de toréer avec une serviette, en tout moment et en tout lieu. »

Aficionado ou non, vous trouverez dans cet ouvrage le parcours poignant et atypique d’un homme hors du commun qui s’est confié à Inego Crespo Llanos, confidences traduites par Antoine Martin. Un livre bilingue français-espagnol, paru aux éditions « Au diable Vauvert » disponible dans toutes les bonnes librairies


Des toros au pays des puros

 

 Avec l'arrivée du dernier ouvrage de l'UBTF, un livre de Joel Bartolotti "De Cuba et des Toros".

  L'histoire de la ''Perle des Caraïbes'', depuis sa découverte par Christophe Colomb lors de son premier voyage jusqu'à la Révolution des Barbudos, est évoquée à travers celle des corridas que les colonisateurs Espagnols y apportèrent. On y verra que la guerre hispano-américaine, avec la victoire des yankees, fut fatale à la tauromachie cubaine. Mais si l' « Oncle Sam » interdit la corrida, ce fut plus pour effacer la présence de la civilisation ibérique que pour satisfaire une philosophie animaliste. Enfin, on y apprendra que les frères Castro, Raul et Fidel, tout comme « Le Che », étaient des aficionados, et qu'ils n'hésitaient pas à se mettre devant des vaquillas pour assouvir leur passion.

Joël Bartolotti, revistero torista, ancien directeur de la revue TOROS, est également l'auteur aux éditions UBTF, de « Gallito » et des « Des taureaux à Paris », aujourd'hui épuisés.


Vétérinaire et aficionado

 

 " A l’heure où la corrida fait débat, à lheure où se préparent les états généraux de la tauromachie, à l'heure où nous entrons dans une période de disette j'ai écrit un livre édité ce début du mois de mars avant la fin des toros. 
J’entrecroise mes souvenirs de 40 ans d’activité dans la ruralité béarnaise avec mes meilleurs souvenirs d’aficionado.

Cet ouvrage témoigne de la transformation de l’agriculture et des élevages au fil de ces années et raconte mes relations avec les animaux en tant que praticien et amateur de spectacles taurins. Il parle aussi de mes relations avec les ganaderos, de l’alimentation de leurs taureaux et des deux missions de notre profession : la lutte contre l’afeitado et l’étude avec l’INRA des troubles de faiblesse musculaire durant la lidia.  Toujours en se référant aux publications de l’INRA, le livre aborde le sujet de la douleur ressentie par les bovins en général, par le taureau de combat en particulier. C’est aussi une réflexion sur ce que pourrait devenir le tercio de piques dans la tauromachie actuelle.

En référence à ces divers travaux de recherche, à mon expérience professionnelle et à ma connaissance du monde du toro, ce livre se termine par un état des lieux de la tauromachie. Il pose la question : comment la corrida peut-elle s’adapter à la modernité ? quelle va être la tauromachie de "l'aprés"."   Hubert Compan


Vient de paraitre : Confidences taurines

 

 Dans ces temps étranges et perturbés, nous publions dans la collection des carnets taurins, un livre imaginé et construit par Laurent Aussel :  «Des milliers de kilomètres. En avion, en train, en voiture. De Nîmes à Bilbao, d'Aubais à Madrid, de Fos-sur-Mer à Séville.

Des rendez-vous dans des lieux atypiques : le bar d'un hôtel de quartier, l'atelier d'un artiste, la terrasse d'un restaurant face à la Méditerranée, le gradin d'une arène éphémère, le cabinet parisien d'un avocat, une rame du métro de Madrid.  Convaincre les indécis. Rassurer les inquiets. Accompagner les autres. Et laisser opérer l'inépuisable inspiration afférente à l'acte taurin. Treize portraits, douze entretiens et une postface. Deux années à parcourir les terres taurines d’Espagne et de France afin d’en recueillir la substantifique moelle.»

Je vous laisse découvrir en pièce jointe les contributeurs choisis par Laurent Aussel. La postface est signée Francis Wolff. Une phrase tirée de l'introduction de son texte – Portraits de groupe – est d'une actualité troublante : «…Mais que vaudrait une afición vécue chacun dans son coin ? Guère plus qu’une faena de rêve dans une arène vide…»  

Le livre sera distribué dès que possible chez les libraires habituels. Il est aussi en vente sur notre site ici. http://www.editions.atelierbaie.fr/carnets-taurins/171-confidences-taurines.html 


Las últimas 24 horas de Joselito el Gallo

 

Collection Biografía Un livre de José Luis Cantos Torres

 

La mort tragique de José Gómez Ortega au plus fort de son regne taurin a provoqué une telle désolation en Espagne en 1920, que les adieux spontanés, qui lui ont été rendu en hommage suite à cette tragedie, se sont transformés en une manifestation solennelle et massive de deuil. Les 24 dernières heures de Joselito El Gallo vous font découvrir  l'homme et le torero, et évoquent, avec des témoignages, des images et une documentation inédite l'immense douleur qui a dévasté le peuple espagnol et sa sensibilité.


Il est sorti ...  !

 

 En 1983, Christian Le Sur, 10ème Matador de Toros français, fonde la première école de tauromachie française : le Centre Français de Tauromachie (C.F.T.).
Afin de proposer un enseignement complet, il donne à ses élèves un cours théorique, qu'il améliorera tout au long de ces années.

Cet ouvrage est le support de cours de l'école. Décliné en 12 chapitres truffés du vocabulaire taurin espagnol, évoquant l'histoire, il détaille comment se déroulent les trois tiers d'une corrida, le rôle de chacun des acteurs et leur manière d'interagir.
Mais aussi et surtout, ce qui en fait un ouvrage de référence, c'est une explication détaillée des principes fondamentaux que sont la théorie des terrains, la vision du toro et l'analyse générale de la passe.
Enfin, il rappelle ce qui se fait ou pas en termes d'étiquette, détaille la fonction du président de course et termine par une évocation du costume de lumières.Chaque chapitre se conclut par un questionnaire, afin de vérifier la bonne compréhension des concepts évoqués. Regroupant de nombreuses informations, utiles et nécessaires, pour celui qui voudrait s’adonner à cette passion et atteindre le niveau de novillero sin caballos, ce recueil sera aussi le parfait vadémécum pour l’aficionado spectateur, curieux de parfaire ses connaissances.


La cornada du miroir

 

Paru aux Editions Maïa. La "cornada" du miroir, qui se déroule au cœur de l'univers si particulier de la tauromachie, propose une quête de spiritualité au travers d'un symbolisme varié. Elle incite notamment à une véritable réflexion sur les notions de mort et d'amour. La tauromachie y est abordée avec poésie, par le biais des cinq premiers Arts. "Cette mort l'obstinait et le tétanisait. Mais depuis peu, ce n'était plus le cas. Il avait finalement appris à vivre avec elle. Il avait enfin vaincu ses longues nuits d'insomnies à se demander si son heure était arrivée. Il pouvait désormais la regarder en face, poussant même parfois le jeu au-delà du raisonnable. Son corps d'ailleurs, portait les traces de ces moments d'inconsciente extase. Il était cousu de ces triomphes. Par chance, jamais il n'avait été blessé gravement, par chance, les médecins avaient toujours su réparer le torero autant que l'homme. Diego Montalbán avait fait le choix de ne pas aimer, de ne pas perdre son temps dans ces jeux futiles qui amusaient ceux de son âge. Une seule femme le fascinait vraiment. C'était Lorena, son amie d'enfance. Pourtant, il n'y avait pas de place dans son coeur pour l'amour. Il en était convaincu. Il avait trop souffert. Il regardait cette masse noire devant lui. Ses yeux brûlaient de plaisir. Il sentait l'air chaud du mufle sur son visage. Il aimait cette sensation de contrôle. C'est lui qui décidait, lui qui ordonnait et dominait. Il ferma les yeux un instant pour se délecter de ce moment de gloire. Il n'eut pas le temps de les rouvrir. La corne s'enfonça dans le visage de Montalbán avec une violence inouïe. Bousculé puis projeté en l'air tel un pantin, Diego retomba lourdement sur le sable, inconscient, sous les hurlements d'un public horrifié. Le torero de Séville, gisait inerte sur le sable des arènes. Il venait d'être expulsé en un éclair vers un monde inconnu, ni tout à fait vivant, ni tout à fait mort. Il y faisait nuit. Il y était seul."

Biographie de l'auteur : Laurent Géray a grandi entre la région parisienne et la Provence. Passionné de tauromachie mais aussi de symbolisme, d'art et d'histoire, il a également hérité d'une culture africaine et plus précisément issue du Bénin, berceau du vaudou. Il publie ici son premier roman initiatique.

Vient de Paraitre

 

 Francis Wolff « Moments de Vérité »

Philosophe français reconnu dans le monde entier pour la rigueur de ses travaux Francis Wolff est professeur émérite de philosophie de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm à Paris. Il a découvert la corrida par hasard à l’âge de 18 ans et il s’est engagé dans le combat pour sa défense dans ses ouvrages et ses prises de positions. Il est devenu ainsi un interlocuteur central du débat sur l’avenir de la tauromachie. Mais c’est aussi et d’abord un aficionado avec ses passions, ses expériences, ses anecdotes. Dans ces « Moments de Vérité » il revient avec Pierre Vidal sur son parcours singulier, son passé de militant, la naissance de sa passion taurine, le sens de son engagement au côté des aficionados. Il le fait en toute sincérité, sans langue de bois, sans craindre de mettre à mal de nombreuses idées reçues. A lire pour tous ceux qui s’intéressent à la corrida et à son avenir qu’ils soient avertis ou simplement curieux. 

Pierre Vidal, auteur de ce dialogue inédit avec Francis Wolff est un journaliste, cinéaste et écrivain. Directeur de la collection « La Verdad » aux éditions Gascogne qui comporte désormais treize titres, il y a écrit quatre livres. Il a consacré une grande partie de sa carrière à la défense de la corrida.

Première présentation du livre les 9 et 10 novembre dans le cadre de la semaine taurino culturelle de Saint-Sever.

En vente dans toutes les bonnes librairies. Sur les principales plateformes de vente par correspondance. Editions Gascogne. Prix 15 euros.


Générique de fin de Simon Casas  

 

 Édité aux Éditions du Diable Vauvert chez …. « Si un jour tu décides de te suicider vise juste ! Pour ne pas se rater il faut être en accord avec soi-même. »

A Madrid, un écrivain décide de mettre fin à ses jours. Il est engagé par le compagnon d'une ancienne amante pour jouer le rôle d'un auteur raté, amant de l'actrice principale et qui se suicide à la fin du script. Une mise en abîme en forme de chassés-croisés qui met en scène deux personnages confrontés à leur disparition.

Écrivain, Simon Casas, ancien maletilla ivre de livres et de mots a déjà publié « Tous toreros, Taches d’encre et de sang, La corrida parfaite (tous deux au Diable vauvert), et L’envers des capes (Fayard).


Vient de paraitre « Toro Arte »

 

Voici la couverture du livre, qu’Olivier Pince cosigne avec son ami peintre Bruno Eliot. Cet ouvrage, fruit du mariage de la peinture et de la littérature, est consacré à  la culture tauromachique. C’est leur manière de rendre hommage et de défendre ce qui, au quotidien, forge en grande partie notre identité et notre fierté de vivre dans ce coin de France. Préface de Juan Bautista,  avec l’aide l’écrivain Alain Laborieux pour la réalisation de la maquette, de la peña taurine la Embestida qui financera la publication du livre et l’imprimeur Mondial Livre qui matérialisera ce projet


De l’envie de toréer

 

 De Christophe De Vos aux Editions du Diable Vauvert.

Depuis que la tauromachie existe, de simples amateurs se mesurent aux taureaux de combats muleta en main, à leurs risques et périls. Certains sont célèbres, comme Hemingway, dont la statue est dressée à Pampelune ou encore Montherlant. La plupart sont anonymes. Constituée il y a trente ans à Nîmes, l’association des Aficionados Practicos, rassemble et permet à ces amateurs anonymes de vivre leur passion, témoignant d’un engouement populaire ininterrompu pour la pratique de la tauromachie. Qui donc mieux qu’un amateur pouvait écrire sur ce qui pousse un humain armé d’un tissu à affronter un taureau sauvage ? Car l’amateur n’est poussé ni par le désir de gloire ou de fortune, ni par celui de la reconnaissance. Il obéit à un désir de dépassement irrépressible, mais d’un tout autre genre que celui de la compétition ou des sports extrêmes par exemple. L’animal change tout. Il est l’objet mystérieux du désir. Que cherche-t-on vraiment dans ce corps à corps avec la bête ? Harmonie ou domination ? Adrénaline ou amour ? Dépassement ou beauté ? Original et très pertinent, un petit essai qui pose de grandes questions et lève le voile sur une passion étrange, mais aussi sur ce qu’est le désir, lieu fondamental du mystère humain.


Les godillots de la vierge

 

 « Ça sera dans tous les journaux de ton pays :“Un citoyen du Michigan trouve la mort aux arènes.” Tu parles d’une publicité ! Et pour toi, l’Amerloque : quelle chance ! N’importe qui serait fier de se suicider comme ça. »

Un roman roman culte, était devenu introuvable qui vient d’être re-édité par les éditions Atlantica, traduit de l’anglais par Georges Belmont.

Sol Feldman, dit « El Sol », est un jeune Américain de confession juive qui rêve de triomphes dans les arènes mexicaines. Il n’est cependant pas le plus doué et l’apprentissage s’avère un long chemin de désillusions – où s’égarent ceux qui ne seront pas des « élus »... Il croit néanmoins tenir la chance de sa vie lorsqu’on lui propose de remplacer un torero blessé. Mais plutôt que d’une opportunité, il s’agit d’un piège grossier : comme les Mexicains seraient heureux de voir un Yankee arrogant périr d’un coup de corne ! Leur pays n’en serait que vengé des humiliations !
En attendant le face-à-face avec les « toros », El Sol croisera la route de personnages loufoques, un journaliste corrompu, un cafard épris de philosophie, une prostituée boursicoteuse...
Fable critique ou pastiche magistral (Hemingway...), avec Les godillots de la Vierge, Earl Shorris joue avec les codes des genres littéraires et nous parle de notre rapport à la vie, à la peur et à la politique, toutes choses absurdes dont notre espèce aime à s’encombrer.

Earl Shorris (1936-2012) est né à Chicago mais a ensuite grandi près de la frontière mexicaine dont le décor et les enjeux marqueront sa mémoire, ses opinions, son œuvre. Il est l'auteur d'une dizaine de romans publiés dans de grandes maisons d'édition américaines dont Les cavaliers de la colère, traduit chez Stock en 1983 après avoir connu un succès mondial.


Vient de paraitre

 

« Ole ! » de Serge Milhé, Édité par l'Union des Bibliophile Taurins de France,  UBTF, 2019, 21 € à commander sur le site : ubtf.fr ou dans les librairies dépositaires

Actes Sud, Place Nina Berberova 13200 Arles.  Librairie L’Alinéa, 20 Rue d’Espagne, 64100 Bayonne.  Librairie-Papeterie Victor Hugo, 9 avenue Victor Hugo, 64200 Biarritz.  Librairie Bookstore, 22 place Clémenceau, 64200 Biarritz.  Librairie Mollat, 13 rue Vital-Carles, 33000 Bordeaux.  Librairie Campus, 10, rue du Mirailh, 40100 Dax.  Librairie Clerc, 7 Rue Alexandre Cabanel, 34000 Montpellier.  Librairie Goyard, 34 boulevard Victor-Hugo, 30000 Nîmes.

Librairie Tessier, 11 rue Régale, 30000 Nîmes. Librairie Ombres Blanches 50, rue Gambetta, 31000 Toulouse.


La suerte de matar

 

 Un roman de Frédéric Coudron paru aux Editions du Diable Vauvert… Lise, journaliste féministe et anticorrida, doit réaliser pour TF1 le portrait d’un torero à la réputation de séducteur irrésistible, le légendaire Manuel Ortega. Découvrant qu’Ortega est mêlé à une affaire de meurtre, persuadée de sa culpabilité, elle profite du reportage pour enquêter sur le torero. Et se retrouve plongée au cœur d’un univers qu’elle pensait exécrer. Mais le charisme du mystérieux torero opère à son corps défendant…

Frédéric Coudron vit à Dax après avoir été ingénieur territorial dans une grande collectivité lilloise. Passionné de littérature policière depuis l'adolescence, il ébauchera ses premiers textes, après la lecture de la Ligne noire et du Serment des Limbes de Jean-Christophe Grangé. Il a publié une dizaine de romans policiers, les chroniques d’Alessandro Calderon. La Suerte de Matar est son premier roman au Diable Vauvert.


Le chauffeur de Juan

 

 Jean-Michel Mariou a vécu une aventure unique pour un aficionado et qu’il nous livre avec son verbe sincere et humble mais toujours juste. Il s’est fait embaucher, pendant trois temporadas, comme chauffeur de la cuadrilla du jeune torero arlesien Juan Leal. Il a ainsi conduit ces hommes de lumières sur la route des toros, en Espagne et en France. De la routine des entraînements aux triomphes des grandes férias, des drames de l’arène à la fraternité du quotidien, c’est un regard singulier qu’il propose sur ce monde secret, mystérieux. Car la tauromachie est d’abord un voyage. Il faut, pour qu’une corrida puisse se donner, que le torero, le spectateur et le toro se rejoignent dans une arène. En train, en avion, en bateau, en camion ou dans les mythiques coches de cuadrilla. Commence alors un autre voyage, plus énigmatique, plus périlleux : il faut accepter de sortir de soi pour recevoir cette nouvelle vie qui vous bouscule. A travers ce voyage on revisite l’histoire de la tauromachie, à pieds, à cheval, en train, en voiture…. Et l’on decouvre le monde des toros de l’intérieur, sans cryptage..

L’auteur a créé et produit l’émission littéraire « Qu’est-ce qu’elle dit Zazie ? » et divers magazines et reportages sur la tauromachie. Il dirige la collection « Faenas » aux Editions Verdiers ou il a déjà publié « Ce besoin d’Espagne ». Paru aux Editions Verdiers


Les Noirs

 

 Réédition du recueil de Patrick Espagnet aux Editions du Diable Vauvert

 

 « Il flageole au ras de la barrière
Il cherche un ami
Une harde invisible
Les murs secs de la ferme
Le sifflet des casquettes
L’ombre bleue de l’olivier
Le silence des sauterelles
Et il sombre
Et il tombe
Comme un boxeur
Noir »
Un hommage resplendissant au campo, aux taureaux de combat, aux matadors, à Séville et aux gradins ensoleillés de Pampelune. Il a été plusieurs fois mis en scène et interprété par Maxime Leroux puis Patrick Catalifo.

Né à Grignols (Gironde) en 1950 et mort à Bordeaux en 2004, Patrick Espagnet fut une des grandes plumes du journal Sud-Ouest. Ses chroniques et articles sur des sujets populaires (agriculture, ville, chasse, tauromachie, sports, basket, rugby, jazz, fête, cafés…) lui valent la gloire. Sa verve, ses métaphores, son humour et son talent d’écriture lui ont valu plusieurs prix et des lecteurs fervents. Il a incarné une sensibilité du sud-ouest ouverte sur le monde, une manière de raconter populaire et joyeuse.


 

Un nouveau livre à l’UBTF

 

 L'Union des Bibliophiles Taurins de France vient de publier "Des toros à l’affiche" La collection Claude Vintenat racontée par Marc Thorel. Depuis une trentaine d'année, Claude Vintenat a réuni une exceptionnelle collection d'affiches taurines couvrant la France du nord au sud avec deux priorités: des grands formats et une période allant de 1880 à 1930. Marc Thorel grand historien de la tauromachie, membre fondateur de l'UBTF et ancien président a restitué le contexte, les personnages et les drames que rappellent chacune de ces affiches. L’ouvrage de 234 pages richement illustré en couleurs au prix de 24 € est à commander sur le site de l'association: ubtf.fr


 Nouveautés au Diable Vauvert 

 

Collectif Hemingway. Ombres de lune et autres nouvelles du Prix Hemingway 2018 Un éleveur piste celui qui chaque nuit fracture la barrière de l’enclos de Gladiador, son plus célèbre taureau… Ce qu’il va découvrir à l’ombre de la lune le bouleversera à jamais. L’auteur José Luis Valdés Belmar, quatorzième lauréat du Prix Hemingway, ouvre un recueil lyrique qui fait, de façon surprenante voyager la tauromachie autour du monde. Parution le 13 septembre 

 

Anne Plantagenet Manolete, Le calife foudroyé. 1947, Andalousie, Manolete meurt à trente ans d’un coup de corne dans les arènes de Linares. Fils maladif et timide d’une mère étouffante, veuve de deux toreros, nul ne croit en lui lorsqu’il décide de devenir matador à onze ans. Son art et son courage vont transformer en dieu ce garçon triste, ingrat. À la fin de la guerre civile, il est le héros sombre du deuil et de l’espoir. Mais ses cachets insolents et sa passion pour Lupe Sino font scandale. L'histoire tragique de celui qui incarna une Espagne meurtrie. Parution le 9 septembre 

 

La Corrida, effraction salutaire, Teissier, Jacques. « Belle effraction ! Effraction dans notre société hyper-sécuritaire, hyper-réglementée (…). Notre société voudrait-elle nous faire croire à une vie sans risque ? Mais une vie humaine sans risque, ce n’est plus une vie humaine, ce n’est guère qu’une mort déguisée. La corrida le montre au plus haut degré : la vie est risque. Effraction salutaire. » La corrida est combattue, mais la corrida résiste et se défend. Et trouve ici un avocat surprenant. La tauromachie est une tradition dont les racines sont ancrées dans une culture ancestrale. Son ancienneté suffit-elle à la justifier ? 


 

Confidencias

 

  Le nouveau livre de José Luis Cantos Torres, Confidencias, Antonio Santainés Cirés y Célebres Figuras del Toreo est à la vente. Un livre de temoignages et de confidences qui revele la personnalité et la façon de vivre de sept figuras del toreo à leur epoque,  El Gallo, Marcial Lalanda, Domingo Ortega, Nicanor Villalta, Manuel Alvarez « El Andaluz », Angel Luis Bienvenida et Pepin Martin Vasquez

 


 Le 7 Juillet (Siete de Julio) 

 

Un récit intelligent, virtuose, sur les célèbres encierros de Pampelune : le 7 juillet, coup d’envoi des fêtes de la San Fermín, vu par un coureur différent des autres. Journaliste et surtout écrivain, Chapu Apaolaza joint l’observation à la mémoire. Rien ne lui échappe. Dans ce livre empreint de vacarme et d’odeurs, on passe de l’adrénaline... à une étrange quiétude. On y croise des types sourds qui, lorsqu’ils courent, ressentent l’électricité du taureau dans leur dos, des chirurgiens qui tremblent, des blessés qui tâtent le sol à la recherche de leurs lunettes et des femmes qui donnent des leçons à des coureurs paternalistes. Le 7 juillet parle de la peur, de la mort, du hasard et de l’anxiété, mais aussi de la joie, de l’euphorie, et de l’intensité de la lumière du matin après le passage du troupeau.  

Francisco Chapu Apaolaza gagne sa vie en tant qu'observateur professionnel et conteurs d'histoires. Né à San Sebastián au moment du chupinazo de 1977, il grandit dans une famille qui apprécie la tauromachie, la poésie, le printemps, les oursins, et qui aime particulièrement danser les valses du Nouvel An en pyjama. Navarrais de cœur et par alliance, il se considère d'un peu partout et navigue du côté de Madrid, à mi-chemin entre la baie de la Concha et le phare de Trafalgar. Il travaille pour la section V des reportages régionaux de Vocento et a obtenu le prix de journalisme Manuel Alcántara. Il confesse qu'il n'est rien pour l'encierro de Pampelune, mais que l'encierro est tout pour lui. 

Paru aux Editions Atlantica. Pour le commander en direct, c’est par ici… 


 Nouvelle édition de livres d’artistes 

 

 ….En bibliophilie contemporaine sur la tauromachie sur cet ouvrage rare : 3 chroniques poétiques inspirées des corridas à Nîmes, Bayonne, Monclar (Gers), Salamanque, Vic-Fezensac et au Portugal de Robert Marteau accompagnées d’œuvres entièrement faites d’originaux par trois artistes différents, Bernard Alligand, Gérard Eppelé et Julius Baltazar. Créées en 2008 par Françoise Maréchal-Alligand, les Éditions d’art FMA défendent la poésie d’auteurs et artistes contemporains en proposant des textes inédits enluminés d’œuvres entièrement originales. Présentation, dédicace, exposition se font en librairie spécialisée en bibliophilie contemporaine, en médiathèque, bibliothèque et musée. Éditions d’art FMA Tel : 06 09 40 34 93 - editionsdartfma@gmail.com

Feuilletage du livre d'artistes Ce livre fait partie d'un ensemble de 3 livres intitulé Toros. 


 Curro Diaz par Antonio Arévalo 

 

Le parcours de chaque torero est singulier. La vie de chacun d’entre eux est exemplaire. Toujours il y a un enseignement à retirer de leur expérience. Une leçon pour notre quotidien. Curro Diaz n’échappe pas à cette règle. Aimé des aficionados les plus éclairés, il a su se faire une place auprès du grand public sans rien changer de sa tauromachie exigeante, profonde et élégante. Il a toujours suivi sa ligne, son idéal artistiquee sans faire de concession à qui que soit, avec une conscience aigüe de ses objectifs devenus désormais sa marque de fabrique. Grâce à l’enquête d’Antonio Arévalo on mesure ce qu’il aura fallu au torero de Linares de détermination et de courage pour arriver au premier plan. Curro est sans aucun doute un exemple car il montre que l’on peut se placer aux avant-postes de la toreria sans avoir un recours systématique aux subterfuges classiques comme le choix de ces ganaderias dites commodes qui assurent des succès souvent éphémères. Comme il le dit, il ne choisit pas il prend. Aux Editions Gascogne. 


 Le Centaure de la Marisma, Peralta Angel 

 

« Dans les marais du Guadalquivir règne un silence profond, de temps à autre traversé par les notes lancées dans l’air marin par les sarcelles et les canards siffleurs… La nuit, le hennissement des chevaux résonne sous le ciel et les taureaux braves se défient de loin en mugissant. » Avec le laconisme pudique des hommes façonnés par cette terre, Le Centaure de la Marisma raconte l’éternelle histoire d’un amour impossible entre un cavalier andalou et une star américaine, un roman que devait interpréter Ava Gardner… 

Né dans la première moitié du siècle dernier en Andalousie, celui qu’on appelle avec respect Don Angel Peralta a donné ses fondements à la tauromachie à cheval moderne. Grâce à des qualités de dresseur époustouflantes et une technique équestre jamais atteinte, il fut dans les années 1980 le premier à travailler le toro de combat au plus près. Usant de son cheval comme d’une insaisissable muleta et portant plus haut que tous ses prédécesseurs le sens du jeu et du spectacle, il régna sur les arènes pendant plusieurs décennies avec son frère Rafael. Grand matador de toro à cheval, éleveur de chevaux au fer recherché, créateur de spectacles équestres, Ángel Peralta est aussi un homme de grande culture, poète sévillan et auteur de plusieurs livres, où la technique équestre s’accompagne de considérations sur la vie, la valeur humaine et le courage. Aux Editions du Diable Vauvert.  


 Ivan Fandiño, demain je serais libre…. Nestor Garcia 

 

 L’histoire d’Iván Fandiño est celle de l’aventure du dépassement, celle d’un torero que les poètes n’ont pas encensé mais dont les historiens parleront longtemps. Vivant et mort. Parce que Fandiño est une légende dont la soif de liberté dépassait tout instinct de survie. Ce 17 juin, il a rencontré le destin que tant de fois il avait semblé rechercher. En son nom et en celui de la vérité, il a mené, avec Néstor García, une carrière faite de sang, de sourires et de larmes. Leur union n’est pas seulement celle d’un matador et d’un apoderado, c’est celle de deux hommes qui se sont faits eux-mêmes, partis des racines les plus humbles, et qui ont réussi à faire trembler le système archaïque de la Fiesta. Néstor, l’autre « moi » de Fandiño, écrit sur un destin qui va bien au-delà de la simple histoire d’un torero : c’est l’histoire d’un héros, d’une alliance sans faille dans la fraternité et la loyauté. Ce livre, dans lequel sont révélés les secrets les plus nobles mais aussi les plus sombres du monde taurin, ne laissera personne indifférent. Vous avez devant vous l’histoire d’un mythe qui a vécu comme il est mort et qui est mort comme il a vécu : en cherchant la liberté. A paraitre en avril aux Editions Atlantica

 


Présentation du livre 2017 des ganaderias AEFTC 


Avec la création en décembre 2016 du Club des Partenaires « Toros de France », l’AEFTC a voulu dynamiser son activité afin de lui permettre de mieux communiquer sur les activités des ganaderos français, promouvoir leur travail et inciter les organisateurs de spectacles taurins à produire davantage les « toros de France ».  Dans le cadre de ces objectifs, l’Association des Eleveurs Français de Taureaux de Combat est heureuse de présenter le Livre 2017/2018 des Ganaderias membres de l’Association. Après un rappel historique sur la création en 1920 de ce qui deviendra plus tard, l’Association des Eleveurs Français de Taureaux de Combat, le livre des Ganaderias permet, en un clin d’œil de connaître les coordonnées de  chaque élevage, ses couleurs, un rapide historique ainsi que ses origines (encastes).  Ce livre permet également de prendre connaissance des statistiques de ventes des taureaux « français » au cours de la temporada 2016 et ainsi mesurer le chemin restant à parcourir…L’AEFTC tient à remercier chaleureusement tous les partenaires qui ont apporté leur soutien financier et ont permis la réalisation de cet ouvrage qui, nous l’espérons, sera le premier d’une longue série. 

Modalité de commande, tarif public : Prix Public : 15 €  Précommande par mail à torosdefrance@gmail.com
Tarif associations et clubs taurins : Minimum de commande : 5 livres. Tarif associations : 10 €. Précommande par mail à torosdefrance@gmail.com  


 La dernière mise à mort… 

 

Dans cette fiction polémique, l'auteur plante un décor taurin très pessimiste annonçant les dernières mises à mort dans les corridas, « sin sangre ni muerto » bien dans la nouvelle bienpensance. Il nous fera traverser le temps relatant avec force détails les origines et les évolutions de cette tradition culturelle forte, tant décriée à l'heure actuelle suscitant, violences et récriminations où, même en Espagne dont la corrida à partie liée avec la culture et l’histoire.
Sa compagne habituellement si ponctuelle, très en retard ce jour-là, parviendra-telle à le rejoindre et à pénétrer à tant dans cette arène où tous les aficionados se sont précipités afin d'assister à cette cérémonie qui marquera l'histoire de la tauromachie. Un livre paru aux Editions Lacour-Ollé et ecrit par Jean-Marie Dedet (www.editions-lacour.com)

 


 Rodolfo Gaona, el indio grande 

 

Pour la première fois en France, paraît une biographie du grand matador mexicain Rodolfo Gaona. Le seul qui ait vraiment fait de l’ombre à Joselito et Belmonte dans les années 1910, malgré l’ostracisme manifesté par les empresas espagnoles à son égard. L’auteur retrace d’abord la vie de Gaona, puis cerne sa personnalité et montre son influence sur la tauromachie mexicaine. Chaque fois que le lecteur verra aujourd’hui exécuter une gaonera, nul doute qu’elle lui rappelle le Torero indio, évoqué ici de manière si vivante par le texte et l’image. Une présentation de ses combats en France et la liste de près de 800 corridas auxquelles il a participé sur la « Planète des toros », ainsi qu’un superbe hors-texte dû au talent de Diego Ramos complètent l’ouvrage.
L’auteur. Avant d’être professeur d’espagnol, Jean-Louis Castanet a vécu à Salamanque en partageant le quotidien des toreros José Falcon, Fernando Domínguez et Pascual Mezquita. Cette plongée dans le mundillo s’est poursuivie, au fil des étés, par la recherche sur le terrain de toutes les ganaderias inscrites à l’U.C.T.L. (373 en 2003). Résultat : La parution de trois ouvrages successifs dont le dernier : Tierra brava avec des photos de Pascal Novion. Un guide sans équivalent pour l’aficionado explorateur. Edité par par l’UBTF 


 Richard Milian, l’honneur d’être torero 

 

Richard Milian restera, longtemps encore, un personnage atypique de la tauromachie française… Il est le douzième matador de l’histoire et arrive à un moment où il est de bon ton de professer un racisme social envers les toreros français. C’est une période où on leur refuse régulièrement l’entrée des arènes de l’hexagone. Malgré cela il va demeurer vingt ans… sans qu’une seule année il ne paraisse pas à l’affiche. Cette carrière fut celle de la difficulté et de tous les dangers devant d’impossibles toros au point de parvenir à une espèce de perversion qui lui faisait préférer à tous les autres les légendaires toros de Miura à la réputation de mort. Richard Milian a fait sa dernière corrida à Floirac en 2001 sans se couper la coleta. Ne plus descendre dans l’arène, Oui ! Mais rester fidèle aux valeurs de cette profession, la volonté, le courage et l’honneur. Richard Milian est un grand Monsieur qui poursuit son parcours avec cette mentalité de torero de dignité, de fierté et de respect. L’homme d’honneur qu’il a toujours été se livre dans ces pages sans jamais rien cacher, de ses bonheurs mais ussi de ses regrets. Paru aux Editions Gascogne, collection "La Verdad", ecrit par Jean-Michel Dussol